AMENDMENTS 091-091 – REPORT on discharge in respect of the implementation of the general budget of the European Union for the financial year 2023, Section III – Commission, executive agencies and the ninth, tenth and eleventh European Development Funds – A10-0074/2025(091-091)

Source: European Parliament

AMENDMENTS 091-091
REPORT
on discharge in respect of the implementation of the general budget of the European Union for the financial year 2023, Section III – Commission, executive agencies and the ninth, tenth and eleventh European Development Funds
(2024/2019(DEC))
Committee on Budgetary Control
Rapporteur: Niclas Herbst

Source : © European Union, 2025 – EP

AMENDMENTS 007-008 – REPORT on the proposal for a regulation of the European Parliament and of the Council amending Regulation (EU) 2017/1938 as regards the role of gas storage for securing gas supplies ahead of the winter season – A10-0079/2025(007-008)

Source: European Parliament

AMENDMENTS 007-008
REPORT
on the proposal for a regulation of the European Parliament and of the Council amending Regulation (EU) 2017/1938 as regards the role of gas storage for securing gas supplies ahead of the winter season
(COM(2025)0099 – C10-0041/2025 – 2025/0051(COD))
Committee on Industry, Research and Energy
Rapporteur: Borys Budka

Source : © European Union, 2025 – EP

REPORT on the proposal for a regulation of the European Parliament and of the Council establishing the European Defence Industry Programme and a framework of measures to ensure the timely availability and supply of defence products (‘EDIP’) – A10-0084/2025

Source: European Parliament

REPORT on the proposal for a regulation of the European Parliament and of the Council establishing the European Defence Industry Programme and a framework of measures to ensure the timely availability and supply of defence products (‘EDIP’)
Committee on Industry, Research and Energy
Committee on Security and Defence
François-Xavier Bellamy, Raphaël Glucksmann

Source : © European Union, 2025 – EP

AMENDMENTS 014-023 – REPORT on discharge in respect of the implementation of the general budget of the European Union for the financial year 2023, Section III – Commission, executive agencies and the ninth, tenth and eleventh European Development Funds – A10-0074/2025(014-023)

Source: European Parliament

AMENDMENTS 014-023
REPORT
on discharge in respect of the implementation of the general budget of the European Union for the financial year 2023, Section III – Commission, executive agencies and the ninth, tenth and eleventh European Development Funds
(2024/2019(DEC))
Committee on Budgetary Control
Rapporteur: Niclas Herbst

Source : © European Union, 2025 – EP

AMENDMENTS 002-005 – REPORT on the proposal for a regulation of the European Parliament and of the Council amending Regulation (EU) 2017/1938 as regards the role of gas storage for securing gas supplies ahead of the winter season – A10-0079/2025(002-005)

Source: European Parliament 2

AMENDMENTS 002-005
REPORT
on the proposal for a regulation of the European Parliament and of the Council amending Regulation (EU) 2017/1938 as regards the role of gas storage for securing gas supplies ahead of the winter season
(COM(2025)0099 – C10-0041/2025 – 2025/0051(COD))
Committee on Industry, Research and Energy
Rapporteur: Borys Budka

Source : © European Union, 2025 – EP

AMENDMENTS 257-261 – REPORT on the proposal for a regulation of the European Parliament and of the Council on the screening of foreign investments in the Union and repealing Regulation (EU) 2019/452 of the European Parliament and of the Council – A10-0061/2025(257-261)

Source: European Parliament 2

AMENDMENTS 257-261
REPORT
on the proposal for a regulation of the European Parliament and of the Council on the screening of foreign investments in the Union and repealing Regulation (EU) 2019/452 of the European Parliament and of the Council
(COM(2024)0023 – C9-0011/2024 – 2024/0017(COD))
Committee on International Trade
Rapporteur: Raphaël Glucksmann

Source : © European Union, 2025 – EP

Ligne directe Neuchâtel-La Chaux-de-Fonds : nouveau jalon dans la planification et rappel des enjeux

Source: Canton de Neuchatel Suisse

02.05.2025

La phase d’avant-projet de la ligne directe entre Neuchâtel et La Chaux-de-Fonds avance comme prévu. Les porteurs du projet – le Canton de Neuchâtel, l’Office fédéral des transports (OFT) et les CFF – ont désormais décidé que le tracé en tunnel sera creusé avec un seul front d’attaque depuis Neuchâtel pour des questions environnementales, sécuritaires et financières. La mise en exploitation de la ligne directe est dès lors planifiée pour 2041. Alors que le Conseil fédéral a lancé les évaluations dans le cadre de sa Stratégie Transports’45, le Conseil d’État neuchâtelois souligne l’importance que revêt à ses yeux la ligne directe, tant pour la mobilité dans l’Arc jurassien que pour le trafic ferroviaire est-ouest.

La nouvelle ligne ferroviaire vise à diviser par deux le temps de parcours entre Neuchâtel et La Chaux-de-Fonds (15 minutes contre 28 minutes actuellement) et à introduire une cadence au quart d’heure des trains entre Neuchâtel, La Chaux-de-Fonds et Le Locle. Elle permettra de doubler la part modale des transports publics dans le canton de Neuchâtel. Ce projet majeur s’inscrit dans la stratégie de pleine complémentarité rail/route Neuchâtel Mobilité 2030 qui a été largement plébiscitée par la population neuchâteloise en 2016.

Nouveau jalon dans la planification de la ligne

Lors d’une conférence de presse vendredi 2 mai 2025 à Cernier, le conseiller d’État neuchâtelois Laurent Favre, le directeur régional des CFF pour la Suisse romande David Fattebert et le responsable suppléant de la Division Infrastructure de l’OFT Christophe Beuret ont fait le point sur l’avancement du projet. L’étude préliminaire terminée, la phase dite d’avant-projet a pu démarrer au printemps 2024. D’une durée estimée à deux ans au total, cette phase doit permettre d’étudier en détail le projet de nouvelle infrastructure et d’en affiner les contours. Le comité de pilotage a d’ores et déjà pris une décision importante, relative à la technique de creuse des deux tronçons en tunnel (tunnel du bas, entre Neuchâtel et Cernier sous Chaumont et tunnel du haut, entre Cernier et La Chaux-de-Fonds sous la Vue-des-Alpes).

La question était de savoir si les deux tunnels devaient être creusés simultanément ou l’un après l’autre, d’abord le tunnel du bas, suivi par celui du haut. Le comité de pilotage a décidé de privilégier cette seconde solution au vu des avantages que présentent les creuses successives. La solution d’un seul point d’attaque permet en particulier de réduire les désagréments pour les riverain-e-s et habitant-e-s du Val-de-Ruz : les zones de chantier prendront moins de place et le transport par camion dans les villages du Val-de-Ruz sera très fortement réduit de quelque 170’000 passages, ce qui a un impact très positif sur la densité de trafic, la sécurité et les émissions de CO2 par rapport à la variante des deux tunnels excavés en même temps.

Selon les estimations actuelles, la creuse échelonnée des deux tunnels coûterait environ 80 millions de francs de moins que l’excavation simultanée. C’est aussi un aspect important, sachant que la maîtrise des coûts demeure un défi. Le projet de ligne directe est devisé à ce stade à un peu plus de 1,3 milliard de francs.

Par la méthode de creuse choisie, la durée des travaux de réalisation de la ligne directe, estimée en automne 2023 entre 7 à 10 ans, est désormais fixée à environ 10 ans. Dès lors, il est possible aujourd’hui d’articuler un horizon de mise en service de la ligne directe à 2041 selon les estimations actuelles. Le Canton de Neuchâtel, l’OFT et les CFF jugent cette adaptation du calendrier de réalisation acceptable car elle est contrebalancée par les avantages escomptés aux niveaux financier, sécuritaire et environnemental.

Poursuite de la phase d’avant-projet

La phase d’avant-projet va se poursuivre jusqu’au printemps 2026. Parmi les points à préciser d’ici là figurent la gestion des matériaux de chantier, ainsi que les mesures nécessaires en lien avec le concept de sauvetage et d’évacuation en cas d’événement sur cette nouvelle ligne ferroviaire. Cette phase sera suivie par le projet de construction et les études d’impact, auxquels succédera la mise à l’enquête publique, prévue pour la fin de cette décennie. Une fois l’autorisation de construire obtenue, les travaux pourront alors débuter. Les communes concernées sont étroitement impliquées et associées dans la suite du processus.

L’aménagement de la nouvelle gare de Cernier, cofinancé par le canton de Neuchâtel, servira de pôle multimodal train-bus pour toute la région. Le canton a lancé un mandat d’étude parallèle pour élaborer une planification directrice pour le pôle de gare de Cernier. Le projet et le nom de l’équipe lauréate seront dévoilés le 19 mai 2025 à 12h sur le site Evologia à Cernier.

Unbürokratischer Gebrauchtwagen-Ankauf in Duisburg: Autoankauf-live exportiert auch ins Ausland

Source: Deutsche Nachrichten
Wer kennt das nicht in Duisburg: Anzeige aufgeben, jede Menge E-Mails beantworten, Besichtigungstermine für den Gebrauchtwagen machen – und der Interessent kommt gar nicht erst oder sagt auf den letzten Drücker ab. Oder Sie machen zehn Termine aus, erledigen mit jedem möglichen Käufer eine Probefahrt – und keiner möchte Ihr Auto kaufen oder drückt den Preis extrem nach unten. Wir von Autoankauf-live in Duisburg können diese negativen Erfahrungen vermeiden und stehen Ihnen mit unserer Professionalität, unserer Hilfe und unserem großen Servicepaket zur Verfügung. Und: Wir kaufen jedes Auto.

Großes Gebrauchtwagen-Netzwerk im Ausland

Bislang waren Sie zögerlich, da Ihr Auto längst nicht mehr fahrtüchtig ist, denn nach deutschen Gesetzen ist es nicht mehr verkehrstauglich. Das mag sein, denn in Deutschland und damit auch in Duisburg gelten strenge Gesetze und damit bestimmte Anforderungen, um Ihr Kraftfahrzeug wieder auf die Straße zu bringen. Deshalb trauen Sie sich auch nicht, das Auto zum Verkauf anzubieten, denn es bringt ja doch keinen anständigen Verkaufspreis. Sprechen Sie mit uns von Autoankauf-live Duisburg, denn wir bringen einen großen Vorteil mit: Unser Netzwerk auch außerhalb Deutschlands ist groß genug, um einen Gebrauchtwagen in ein anderes Land zu exportieren, in dem die Gesetze für eine Fahrtauglichkeit weniger streng sind. Ihr Auto ist folglich in anderen Ländern immer noch gut genug für die Straße.

Kontaktformular ausfüllen und an uns senden

Was haben Sie zu tun, um Ihren Gebrauchtwagen, der schon lange die Garage hütet, schnell und unproblematisch zu veräußern? Sie setzen sich zuerst einmal über unsere Webseite https://autoankauf-live.de/autoankauf-duisburg/ per E-Mail oder per Telefon mit uns in Verbindung. Auf der Seite finden Sie unter „Ihre Anfrage“ ein übersichtliches Kontaktformular, das die angeforderten Daten abfragt. Mit einem Klick beim Button „Absenden“ kommt Ihre Anfrage zu uns. Warum sollten Sie das Formular ausfüllen? Ganz einfach: Mit den von Ihnen übermittelten Daten und Ihrer Preisvorstellung kommen wir besser ins Gespräch und klären mit Ihnen, wie realistisch der von Ihnen gewünschte Kaufpreis ist.

Ihre Daten im Kontaktformular

Natürlich müssen wir wissen, um welches Fahrzeug es sich handelt, wenn sie es uns zum Ankauf anbieten. Deshalb werden in dem Formular, das sehr übersichtlich gestaltet ist, verschiedene Daten abgefragt. Dazu gehört neben dem Namen des Verkäufers und seiner Telefonnummer auch alles, was es über das Auto zu sagen gibt: Marke, Modell, Baujahr, Kilometerstand und die Art des Verbrennungsmotors. Natürlich ist es hilfreich, uns mitzuteilen, ob es sich um ein Unfallfahrzeug handelt, es noch für den Straßenverkehr geeignet und zugelassen ist. Auch Zubehör wie Gepäckträger und Winter- oder Sommerreifen können Sie uns nennen.

Wir setzen uns mit Ihnen zeitnah in Verbindung und vereinbaren einen Termin mit Ihnen und Ihrem Auto. Dabei gehen wir natürlich gerne auf Ihre bevorzugte Uhrzeit ein und kommen auch an Ihren Wunschstandort. Schritt 2 ist damit schon erledigt.

Kaufvertrag ohne Sachmängelhaftung

Herrscht Einigkeit beim Kaufpreis, füllen wir in Schritt 3 den Kaufvertrag aus, der übrigens eine Sachmängelhaftung ausschließt. Damit sind Sie auf der sicheren Seite, sollten sich später Mängel zeigen, die beim Kauf nicht sichtbar waren. Sie unterschreiben den Kaufvertrag – und wir nehmen Ihr ehemaliges Auto gleich mit. Auf Wunsch erledigen wir die Formalitäten wie die Abmeldung beim Straßenverkehrsamt und lassen Ihnen die Papiere natürlich zeitnah zukommen.

Apotheken-News: Apothekenschwund, politische Unsicherheit, digitale Risiken nehmen zu

Source: Deutsche Nachrichten
Die Gesundheitsversorgung in Deutschland verliert an Substanz – strukturell, digital und politisch. In Berlin schließen Apotheken, während Hacker Sicherheitslücken im Herzstück der digitalen Patientenakte aufdecken. Gleichzeitig setzt sich die Reformblockade im Bundesministerium fort. Mutige Apothekerinnen und Apotheker auf dem Land kämpfen gegen den Trend und sichern die Grundversorgung eigeninitiativ. Doch auch Diebstähle, Medikamentenmangel und IT-Ausfälle zeigen, wie verletzlich das System geworden ist. Wer das Gesundheitssystem stabilisieren will, muss jetzt handeln – bevor das Vertrauen endgültig schwindet.

Die Apothekenlandschaft in Deutschland verändert sich grundlegend – und nicht zum Besseren. Besonders deutlich zeigt sich diese Entwicklung in der Hauptstadt Berlin. Dort ist die Zahl der Apotheken im vergangenen Jahr um 31 Betriebsstätten gesunken. Nur noch 687 Apotheken versorgen derzeit eine Bevölkerung von rund 3,8 Millionen Menschen. Das entspricht einer Apothekendichte von lediglich 19 pro 100.000 Einwohner und liegt deutlich unter dem bundesweiten Durchschnitt von 21. Besonders gravierend ist die Situation in Bezirken wie Lichtenberg, wo bereits mehr als 7000 Menschen auf eine einzige Apotheke angewiesen sind. Die Folgen sind längere Wege, Wartezeiten, eingeschränkte Beratungsmöglichkeiten und eine schleichende Entkopplung der Bevölkerung von wohnortnaher Arzneimittelversorgung.

Was sich in Berlin zeigt, ist kein Einzelfall, sondern Ausdruck einer flächendeckenden Verschiebung in der Versorgungsstruktur. Die Ursachen sind vielfältig: wirtschaftlicher Druck, steigende Betriebskosten, stagnierende Honorare, fehlender Nachwuchs und politische Reformstaus. Der Rückzug aus der Fläche trifft vor allem ältere Menschen, pflegebedürftige Patienten und Familien mit Betreuungsaufwand – also genau jene Gruppen, die auf die Apotheke als niedrigschwellige Anlaufstelle angewiesen sind.

Gleichzeitig wächst der digitale Risikodruck. Die elektronische Patientenakte, lange als Symbol für den Fortschritt gefeiert, hat sich in der Startphase als Sicherheitsrisiko erwiesen. Wie nun bekannt wurde, konnten ethische Hacker des Chaos Computer Clubs zentrale Sicherheitsmechanismen umgehen und potenziell auf sensible Gesundheitsdaten zugreifen. Die zuständige Agentur Gematik reagierte mit einer Notfallabschaltung und Prüfmaßnahmen. Bundesgesundheitsminister Karl Lauterbach bestätigte den Vorfall öffentlich. Der Vertrauensschaden ist beträchtlich. Dabei geraten auch Apotheken zunehmend in den Fokus: Als Schnittstelle zwischen Patient, Arzt und System sind sie Teil der digitalen Versorgungskette – doch viele von ihnen sind nicht ausreichend gegen Cyberrisiken abgesichert. Der Abschluss spezieller Cyber- und Vertrauensschadenversicherungen ist bisher keine Selbstverständlichkeit, obwohl die Risiken offensichtlich zunehmen.

Politisch setzt das Gesundheitsministerium derweil auf personelle Stabilisierung. Zwei erfahrene Verwaltungsfachleute haben die operative Leitung im Haus übernommen, um inmitten wachsender Kritik, angespannter Haushaltslage und stockender Reformprozesse Handlungsfähigkeit zu demonstrieren. Doch das politische Klima ist vergiftet. Am Abend des 1. Mai wurde Bundesgesundheitsminister Karl Lauterbach nach einem privaten Kinobesuch in Berlin-Kreuzberg Ziel massiver Anfeindungen. Als er das Kino verließ, geriet er in die Nähe einer linksgerichteten Demonstration, wurde erkannt, beschimpft und als „Faschistenschwein“ tituliert. Videoaufnahmen zeigen, wie Lauterbach nur unter Polizeischutz durch die Menge geführt werden konnte. Der Vorfall verdeutlicht, wie tief die Polarisierung rund um Gesundheitsthemen inzwischen reicht – nicht nur in den Fachdebatten, sondern in der öffentlichen Wahrnehmung insgesamt.

In ländlichen Regionen reagiert man auf die strukturellen Lücken mit pragmatischen Lösungen. So haben sich etwa in Treffurt und Lengenfeld unterm Stein neue Gesundheitsmärkte etabliert. In Zusammenarbeit mit externen Apotheken übernehmen sie zentrale Aufgaben der Arzneimittelversorgung. Sie gelten als Modellprojekte, die zwar keine klassische Apotheke ersetzen, aber eine elementare Grundversorgung sichern können – vor allem dort, wo sich reguläre Apotheken wirtschaftlich nicht mehr halten. In Lengenfeld unterm Stein betreibt die Apothekerin Jessyca Martin seit Jahresbeginn einen solchen Gesundheitsmarkt, der neben der Abgabe von Medikamenten auch Beratung und soziale Nähe bietet. Es ist ein Engagement, das auf Eigeninitiative beruht – nicht auf politischem Plan.

In Othfresen im Landkreis Goslar zeigen zwei junge Apotheker, dass antizyklisches Unternehmertum möglich ist. Bedran Ceylan und Kateryna Bernyk haben die örtliche Berg-Apotheke übernommen und führen sie nun als offene Handelsgesellschaft. Beide kennen sich seit dem Pharmaziestudium, bringen unterschiedliche berufliche Erfahrungen mit – und den Mut, sich in einem schwierigen Marktumfeld selbstständig zu machen. Ihr Schritt steht exemplarisch für eine neue Generation, die trotz widriger Bedingungen Verantwortung übernimmt.

Doch auch aus dem Ausland erreichen Deutschland Signale struktureller Verwundbarkeit. In den Vereinigten Staaten hat ein massiver IT-Ausfall das Kliniksystem empfindlich getroffen. Bei einem Wartungsvorgang der Oracle-Infrastruktur wurde versehentlich eine zentrale Datenbank gelöscht, wodurch 45 Krankenhäuser des Verbunds Community Health Systems gezwungen waren, tagelang auf Papierdokumentation umzusteigen. Die digitale Verwaltung war außer Kraft gesetzt, Abläufe mussten improvisiert werden. Der Vorfall zeigt, dass nicht nur das Design von Software, sondern auch ihre Pflege zur systemrelevanten Aufgabe geworden ist – eine Lehre, die auch deutsche Einrichtungen dringend beherzigen sollten.

Auch im Alltag deutscher Apotheken wächst der Druck. In einer Easy-Apotheke in Bayreuth wurde kürzlich ein professioneller Diebstahlsversuch vereitelt. Zwei Täter hatten es gezielt auf Produkte wie Schwangerschaftstests und Haarwuchsmittel abgesehen, arbeiteten arbeitsteilig und setzten auf Ablenkung. Das Apothekenpersonal reagierte entschlossen und konnte den Schaden verhindern. Der Fall steht exemplarisch für eine zunehmende Bedrohung im Einzelhandel, insbesondere in frei zugänglichen Apotheken mit Selbstbedienungszonen.

Auf der medizinisch-pharmazeutischen Seite rückt eine oft unterschätzte Wechselwirkung in den Fokus: Die langfristige Einnahme von niedrig dosierter Acetylsalicylsäure – bekannt als ASS – kann zu einem Mangel an Vitamin B12 führen. Während der Zusammenhang zwischen Vitamin-B12-Defizit und Medikamenten wie Metformin oder Protonenpumpenhemmern schon länger bekannt ist, zeigt sich nun auch bei ASS ein möglicher Einfluss. Die Substanz wirkt über eine irreversible Hemmung der Cyclooxygenase, wodurch sie die Bildung von Thromboxan A2 unterdrückt – ein Effekt, der bei Patienten mit hohem kardiovaskulärem Risiko therapeutisch erwünscht ist. Doch die dauerhafte Einnahme scheint zugleich die Magenschleimhaut zu beeinträchtigen und die Resorption von Vitamin B12 zu behindern – mit potenziell weitreichenden Folgen, etwa für das Nervensystem älterer Patienten.

Während sich also die strukturellen, digitalen und pharmakologischen Belastungen im Gesundheitswesen verdichten, zeigt sich eine zentrale Erkenntnis: Der bestehende Rahmen trägt nicht mehr. Einzelne Initiativen und persönlicher Einsatz können den Mangel verzögern, aber nicht kompensieren. Ohne einen politischen Kurswechsel droht ein Versorgungsversagen in mehreren Dimensionen zugleich.

Kommentar:

Die deutsche Gesundheitsversorgung steht an einem Kipppunkt, der sich nicht mehr übersehen lässt. Der Rückzug der Apotheken aus der Fläche ist kein schleichender Trend mehr, sondern ein beschleunigter Strukturbruch. Was sich in Berlin verdichtet, gilt längst auch in vielen anderen urbanen und ländlichen Räumen: Apotheken schließen, Versorgungslücken wachsen, und das staatliche System verliert spürbar an Halt. Wenn im Hauptstadtbezirk Lichtenberg über 7000 Menschen auf eine einzige Apotheke angewiesen sind, liegt ein eklatanter Missstand vor, der nicht durch Marktmechanismen kompensiert werden kann. Der viel beschworene Wettbewerb ist in solchen Fällen nicht lösungsfähig, sondern Teil des Problems – weil er kein Interesse an Präsenz in unrentablen Regionen hat.

Parallel zum strukturellen Rückzug offenbart sich eine zweite, ebenso gefährliche Entwicklung: die digitale Verletzlichkeit des Systems. Die kürzlich aufgedeckte Schwachstelle in der elektronischen Patientenakte ist kein Einzelfall, sondern Symptom eines Systems, das digitalisiert wurde, ohne belastbare Sicherheitsinfrastrukturen zu schaffen. Dass ethische Hacker zentrale Schutzmechanismen umgehen konnten, zeigt nicht nur technische, sondern konzeptionelle Defizite. Wer Digitalisierung allein als Prozessoptimierung begreift, verkennt ihre Risiken – gerade in einem hochsensiblen Bereich wie der Gesundheitsversorgung. Die Tatsache, dass Apotheken oft ohne systematische Cyber- und Vertrauensschadenversicherungen operieren, macht die Sache noch brisanter. Es ist eine politische Unterlassung, wenn gerade dort, wo Patientendaten verarbeitet und Arzneimittelrisiken gemanagt werden, kein verpflichtender Schutzstandard etabliert ist.

Die politische Reaktion wirkt hilflos. Im Bundesgesundheitsministerium werden Posten neu besetzt, als ließe sich durch Führungswechsel ein gestörtes System stabilisieren. Doch das eigentliche Problem liegt tiefer: Es ist das systematisch erodierte Vertrauen zwischen Berufsgruppen wie Apothekern und einer Politik, die jahrelang Ankündigungen machte, aber keine nachhaltige Strukturpolitik betrieb. Die aggressive Stimmung auf Demonstrationen, in deren Folge selbst ein Minister wie Karl Lauterbach zur Zielscheibe wird, ist kein legitimer Protest, aber sie verweist auf ein Klima wachsender Entfremdung.

In den ländlichen Regionen reagieren manche Akteure mit bemerkenswerter Eigeninitiative. Gesundheitsmärkte wie in Treffurt oder Lengenfeld unterm Stein sowie antizyklische Apothekengründungen wie in Othfresen zeigen, dass es Engagement gibt – gegen alle Widrigkeiten. Doch es bleibt die Ausnahme. Diese lokalen Rettungsaktionen sind Ausdruck von Verantwortungsbewusstsein, aber keine strukturelle Antwort auf ein Systemversagen. Wer den politischen Kurs allein durch individuelle Lösungen auffängt, überlastet genau jene, die schon jetzt am Limit arbeiten.

Hinzu kommen äußere Störungen, die das System zusätzlich destabilisieren. Professionelle Diebstähle in Apotheken, IT-Ausfälle in Krankenhäusern und langfristige Medikationsprobleme – wie etwa die durch ASS verursachte Beeinträchtigung der Vitamin-B12-Aufnahme – zeigen, wie fragil die Schnittstellen zwischen Versorgungssicherheit, digitaler Infrastruktur und pharmazeutischer Verantwortung geworden sind. Es entsteht der Eindruck eines Systems, das nicht koordiniert gesteuert, sondern fragmentarisch verwaltet wird.

Die eigentliche Leerstelle liegt in der politischen Prioritätensetzung. Es fehlt nicht an Erkenntnissen, sondern an Umsetzung. Versorgungssicherheit darf nicht als Standortdebatte geführt werden, sondern ist zentrale Daseinsvorsorge. Die Digitalisierung muss mit robusten Schutzsystemen verknüpft werden, nicht mit blindem Fortschrittsglauben. Und der Dialog mit den Heilberufen darf nicht als PR-Format behandelt werden, sondern muss auf Augenhöhe und mit ernsthaftem Interesse geführt werden.

Wenn diese Prioritäten nicht neu gesetzt werden, droht das Gesundheitswesen von innen auszuhöhlen. Apotheken sind dabei nur der erste Indikator. Kliniken, Arztpraxen, Pflegeeinrichtungen und digitale Plattformen stehen vor denselben Fragen: Wer trägt die Verantwortung, wenn Strukturen versagen? Wenn die Politik weiter zögert, wird sie nicht nur das Vertrauen der Betroffenen verspielen – sie riskiert, das gesamte System unkontrolliert in die Defensive zu treiben.

Von Engin Günder, Fachjournalist

Silberschock: 210 Mio Unzen fehlen

Source: Deutsche Nachrichten
In Zeiten wachsender wirtschaftlicher Unsicherheiten suchen immer mehr Menschen nach verlässlichen Werten. Physische Edelmetalle stehen dabei hoch im Kurs – insbesondere Silber als oft unterschätzter “kleiner Bruder” von Gold. „Ein Kilo ist immer ein Kilo“, so beschreibt Benedikt Hausler die Besonderheit physischer Edelmetalle. Silber bietet Anlegern nicht nur Schutz vor Inflation, sondern auch ein erhebliches Wertsteigerungspotenzial.

In der vergangenen Ausgabe der Goldshow sprachen Benedikt Hausler und der Schweizer Bankier Rüdiger Götz über die dramatischen Entwicklungen am Silbermarkt und gaben einen exklusiven Einblick in die neuesten Zahlen der renommierten World Silver Survey.

Vier Jahre Defizit – das Pulverfass füllt sich

Der Silbermarkt steht an einem kritischen Wendepunkt. Bereits das vierte Jahr in Folge übersteigt die Nachfrage das Angebot – das Defizit für 2024 liegt bei über 210 Millionen Unzen. Trotz der massiven Unterdeckung zeigt sich der Silberpreis bisher erstaunlich ruhig – ein Zustand, der kaum noch lange stabil bleiben kann.

„Wenn die Lager leer sind, wird der Markt reagieren – und zwar gewaltig“, so der Schweizer Bankier Rüdiger Götz.

Silber – Mehr als nur ein Investment

Silber bietet Anlegern eine seltene Kombination aus Wertspeicher und Wertschöpfungspotenzial. Besonders wichtig für viele: echte physische Werte, keine Papieransprüche. „1 Kilo bleibt 1 Kilo – egal, was auf einem Papier steht“, betont Hausler. Großbanken wie JP Morgan, die für Marktmanipulationen im Bereich Silber bereits hohe Strafzahlungen akzeptiert haben, unterstreichen die Wichtigkeit der Unabhängigkeit physischer Anlagen.

„Wer heute noch auf Papierprodukte setzt, vertraut blind einem System, das längst seine Schwächen offenbart hat“, ergänzt Hausler.

Industrie & Inflation – der doppelte Druck

Silber ist nicht nur ein Edelmetall, sondern ein unverzichtbarer Rohstoff. Besonders der boomende Sektor der Solarenergie fordert jährlich mehr Silber, derzeit etwa 11% der weltweiten Silbernachfrage. Gleichzeitig nagt die Inflation weiter an den Papierwährungen.

„Wer seine Kaufkraft wirklich schützen will, muss jetzt handeln – nicht irgendwann“, mahnt Götz. Silber ist aktuell noch vergleichsweise günstig zu haben, bietet aber ein enormes Aufholpotenzial.

Preisdruck durch Angebotsengpässe

Hinzu kommt: Silber ist in der Primärproduktion oft ein Nebenprodukt der Kupferförderung. Sinkt der Kupferpreis oder werden Minen stillgelegt, sinkt automatisch auch das Silberangebot. Recycling kann diesen Engpass nicht vollständig kompensieren.

„Wenn erst einmal klar wird, dass Silber nicht beliebig vermehrbar ist, werden die Preise durch die Decke gehen“, prognostiziert Hausler.

Die Stunde der Entscheidung naht

Die Fakten sind eindeutig: eine massive Unterdeckung, rückläufige Lagerbestände, steigende industrielle Nachfrage und anhaltender Inflationsdruck. Alles spricht für eine bevorstehende drastische Preisbewegung bei Silber.

„Silber ist wie ein gespanntes Gummiband – je länger es gedehnt wird, desto heftiger der Ausschlag“, beschreibt Götz die aktuelle Marktsituation bildhaft.

Wer jetzt handelt und sich physisches Silber sichert, könnte zu den großen Gewinnern der kommenden Jahre gehören. Denn eines steht fest: Die Uhr tickt.

Kontakt:

Benedikt Hausler – Edelmetallexperte und Partner der Auvesta Edelmetalle AG
Webseite: www.benedikt-hausler.de
E-Mail: service@benedikt-hausler.de
Telefon: +49 8941614979

Weiterführende Informationen und detaillierte Analysen: