Le Trèfle-Blanc : un projet structurant pour une nouvelle centralité urbaine et une infrastructure sportive d’avenir

Source: Switzerland – Canton Government of Geneva in French

Le projet du Trèfle-Blanc, à Lancy, dépasse largement la construction d’un simple équipement sportif. Avec une grande patinoire de 8 500 places, une seconde de 200, ainsi que des aménagements complémentaires — espaces publics, commerces de proximité, lieux de rencontre et services — il s’inscrit comme un pôle structurant au cœur d’un futur quartier. Pensé pour répondre à des ambitions sportives, urbaines, sociales et environnementales, il incarne une nouvelle centralité pour Genève, tournée vers le vivre-ensemble, la durabilité et l’ouverture métropolitaine. À la mi-avril, le Conseil d’État a transmis au Grand Conseil un crédit d’étude complémentaire : retour sur les enjeux, les étapes franchies et les perspectives de ce chantier d’envergure.

Le projet du Trèfle-Blanc s’inscrit dans une transformation majeure de l’entrée sud du territoire. Il ne s’agit pas seulement d’y implanter deux surfaces de glace, mais bien de faire émerger une nouvelle centralité cantonale, à la jonction des secteurs du Sapey, de la Chapelle et du Trèfle-Blanc. Située entre zone périurbaine et tissu urbain dense, cette frange du territoire deviendra un véritable pôle de vie et de sport en même temps qu’un carrefour de mobilités, pensés dans une logique de durabilité et d’ouverture.

Les patinoires seront pleinement intégrées dans un quartier conçu pour accueillir toutes les générations. Outre les équipements sportifs, des espaces publics, des lieux de rencontre, un restaurant accessible depuis le parvis et des cheminements doux favoriseront la vie de quartier et la mixité des usages. Grâce à ses connexions directes au Léman Express, au terminus du tramway et au réseau autoroutier, ce nouveau hub bénéficiera d’une accessibilité optimale. Il s’agit d’un projet d’intérêt public, à haute valeur ajoutée pour le territoire.

Un projet porté par un attachement populaire au sport

Les Genevoises et les Genevois entretiennent un lien fort avec les sports de glace. Ce projet répond à une attente populaire claire : offrir un véritable foyer au Genève-Servette Hockey Club, un tremplin à la relève, un lieu où se transmettent les valeurs du sport et de l’engagement collectif. Un lieu accessible à toutes et à tous, pensé pour la convivialité, le partage et l’émotion.

Un concours d’architecture pour une vision affirmée

Lancé en 2022, le concours d’architecture, qui a été organisé selon les normes SIA, a permis de poser les bases d’un projet ambitieux, bien ancré dans son environnement. En mars 2024, le lauréat a été désigné selon des critères alliant qualité architecturale, fonctionnalité, durabilité et intégration urbaine. Le Conseil d’État a fait le choix d’un projet de grande qualité, symbole  d’une vision à long terme.

Le projet retenu se distingue par une organisation spatiale généreuse, une structure en bois innovante et un travail soigné sur les connexions extérieures. Avec une capacité totale de 8 700 places, réparties entre une aréna principale de 8 500 places et une patinoire secondaire de 200 places, il répond aux exigences des compétitions nationales et internationales tout en garantissant un accès quotidien aux clubs, aux écoles et au grand public. Il figurera parmi les rinks les mieux desservis de Suisse, et contribuera activement à redéfinir cette porte d’entrée du canton. Il est aussi important de rappeler que ce projet était le moins onéreux des finalistes du concours.

Un financement évolutif, fondé sur des données consolidées

À l’origine, les premières estimations remontant à 2020 reposaient sur des données standardisées, sans plans aboutis ni prise en compte exhaustive des contraintes du site. Le chiffre initial de 138 millions de francs a servi de base à un crédit d’études voté en 2022, permettant de lancer les études nécessaires à l’élaboration d’un projet techniquement faisable et financièrement soutenable.

Le 16 avril dernier, fort de ces avancées, le Conseil d’État a proposé un crédit complémentaire de 5,35 millions de francs destiné à affiner encore les éléments techniques et urbanistiques. Ce financement permettra de finaliser la planification, avec un démarrage des travaux prévu début 2026 pour une mise en service en 2030.

Depuis son lancement, le projet progresse par étapes, dans une logique de transparence et de responsabilité. La désignation du cabinet d’architecte lauréat a marqué l’entrée dans une phase concrète, où les estimations reposent désormais sur des bases solides et réalistes. Ainsi, l’estimation globale du coût du projet est aujourd’hui réévaluée à 293 millions de francs. Cette enveloppe prévoit le financement de la patinoire pour un montant de 233 millions de francs (études comprises) et les aménagements alentours pour un montant de 60 millions de francs (réaménagement de la ligne et boucle de ferroviaire, réaménagement du giratoire de la Milice, achats de terrains, aménagements extérieurs : place publiques, arborisation, chemins, pistes cyclables, etc.)

Une ambition assumée pour plusieurs générations

Ce montant, bien que conséquent, reflète la complexité structurelle du bâtiment, l’intégration d’aménagements publics connexes (voiries, espaces publics, ligne ferroviaire, accessibilité) et la hausse généralisée des coûts de la construction (+16 % entre 2020 et 2024). À titre de comparaison, d’autres cantons, comme le canton de Vaud, ont investi des montants similaires dans des infrastructures sportives quasi équivalentes.

Une telle réalisation n’intervient qu’une fois par siècle. il s’agit d’un investissement structurant, pensé pour durer. Un projet de loi portant sur le crédit d’investissement global sera présenté au Grand Conseil en juin 2025, afin que les députés puissent se prononcer sur la base d’un projet techniquement consolidé et porté par une vision claire.

Rappelons également que le financement du P+R sera assumé par la Fondation des Parkings qui estime les coûts de cet ouvrage supplémentaire à environ 85 millions de francs. Un bâtiment commercial annexe, aux mains d’investisseurs privés, est également prévu dans une seconde phase du projet tout comme une passerelle chevauchant la route de Saint-Julien afin de compléter la connectique de mobilité active reliant les différents secteurs.

Un lieu emblématique au cœur de la vie genevoise

Les patinoires du Trèfle-Blanc incarneront un nouvel espace public majeur. Pensées pour accueillir clubs, écoles, familles et passionnés, elles s’ouvriront aussi à d’autres manifestation sportives, événements et activités de quartier. Par leur ampleur, leur accessibilité et leur qualité, elles deviendront un point de repère pour le canton : à la fois équipement sportif, lieu de vie et levier de développement local.

Aller au bout de ce projet permet l’émergence de cette centralité, un développement cohérent et de capitaliser sur les efforts déjà engagés. Faire le choix de cet investissement, c’est célébrer les valeurs sportives, préparer l’avenir, valoriser le territoire et renforcer les liens sociaux.

Calendrier prévu (au 1er mai 2025) :

  • Juin 2025 : Adoption du Projet de loi d’investissement par le Conseil d’Etat et transmission au Grand Conseil
  • Automne 2025 : Vote du Grand Conseil sur le Projet de loi d’investissement
  • 2026 : début des travaux
  • 2030 : mise en services des Patinoires et de leurs alentours

America’s Cup a Napoli, dichiarazione del Presidente Meloni

Source: Government of Italy

Sono orgogliosa di annunciare che l’America’s Cup si disputerà, per la prima volta nella storia, in Italia.

Sarà Napoli la città che ospiterà nel 2027 la trentottesima edizione del torneo velico più famoso e prestigioso al mondo, un evento globale che coinvolge milioni di appassionati e rappresenta una sintesi unica tra tradizione, innovazione tecnologica, eccellenza ingegneristica e spirito competitivo.

Ringrazio il Ministro per lo Sport e i Giovani Andrea Abodi, il Ministro dell’Economia Giancarlo Giorgetti, il Sindaco di Napoli Gaetano Manfredi, Sport e Salute e tutti coloro che hanno lavorato, con passione e determinazione, per raggiungere questo grande risultato. 

La scelta del capoluogo partenopeo contribuirà a rafforzare il rinnovato protagonismo del Sud, che in questi anni ha saputo riscoprire il suo dinamismo e il suo orgoglio, registrando una crescita del PIL e dell’occupazione superiore alla media nazionale.

L’organizzazione dell’America’s Cup a Napoli consentirà, inoltre, di accelerare l’imponente piano di riqualificazione e rigenerazione avviato dal Governo per trasformare l’area di Bagnoli in un moderno polo turistico, balneare e commerciale. 

La scelta dell’Italia è una scelta che ci inorgoglisce, perché è un riconoscimento all’identità stessa della nostra Nazione. Senza il mare, infatti, noi non saremmo ciò che siamo. Il mare è storia, identità, cultura ma anche un pezzo insostituibile del nostro sistema produttivo ed economico, grazie alla posizione di leadership che ricopriamo nella nautica, nella cantieristica, nell’industria armatoriale, nella crocieristica e in tanti altri ambiti connessi alla blue economy.

Non vediamo l’ora di accogliere l’America’s Cup. L’Italia sarà all’altezza di questa sfida, e dimostrerà ancora una volta al mondo di cosa è capace.

Mallorca-Party ist das Highlight im Veranstaltungskalender

Source: Deutsche Nachrichten
Die Stadtwerke Schwäbisch Hall starten am 17. Mai mit dem Schenkensee-Freibad in Schwäbisch Hall in die Freiluftsaison. Das Freibad in Rosengarten-Rieden öffnet am 1. Juni. Besonderheit in dieser Saison ist die Mallorca-Party am 28. Juni im Schenkenseebad.

Bei über 1.000 Personen steht es fest im Kalender: Sie haben bereits ein Ticket für die Mallorca-Party im Schenkenseebad am 28. Juni. Mit Szene-Stars wie Lorenz Büffel, Anna-Maria Zimmermann und Schürze ist die Veranstaltung der Höhepunkt im diesjährigen Sommerprogramm des Freibads in Schwäbisch Hall.

Am 17. Mai startet das Schenkensee-Freibad in die diesjährige Freiluftsaison. Die Öffnungszeiten bleiben wie gewohnt: Montag bis Freitag von 7 bis 20 Uhr, an Wochenenden und Feiertagen von 8:30 bis 20 Uhr.

Auch das beliebte „Sun & Fun“-Angebot ist in diesem Sommer wieder fester Bestandteil des Programms. An diesen Tagen organisiert das Animationsteam des Schenkenseebads von 14 bis 17 Uhr Spiel und Spaß im und rund ums Wasser.

Bis zur Mallorca-Party Ende Juni betreiben die Stadtwerke Schwäbisch Hall sowohl das Freibad als auch das Freizeitbad parallel. Der Saunapark reduziert seine Öffnungszeiten ab dem 21. Juli auf täglich 14 bis 21 Uhr. Ab Ende August geht die Saunalandschaft in die Sommerpause und öffnet gemeinsam mit dem Freizeitbad wieder am 15. September.

Auch in Rosengarten steht die Freibadsaison an: Das Freibad Rieden öffnet am 1. Juni. Die Anlage ist unter der Woche von 13 bis 20 Uhr geöffnet, an Wochenenden, Feiertagen und während der Ferien bereits ab 12 Uhr. Bei schlechtem Wetter gelten verkürzte Zeiten von 16 bis 19 Uhr.

Saisonkarten bereits erhältlich

Saisonkarten für die Freibäder sind bereits verfügbar. Personalisierte Karten können online im Kundenportal der Stadtwerke erworben werden. HallKarte-PLUS-Kundinnen und -Kunden erhalten dort zehn Prozent Rabatt. Nicht personalisierte Saisonkarten sind direkt an der Kasse des Schenkenseebads erhältlich.

Info: Mallorca-Party

Die Mallorca-Party findet am 28. Juni im Schenkenseebad statt. An diesem Tag gibt es keinen normalen Badbetrieb. Die Party startet um 14 Uhr. Einlass ist ab 16 Jahren. Tickets gibt es online unter: www.mallorcaparty.de/schwaebisch-hall.

“MEMENTO MORI – Deine letzte Stunde” – Zirkus des Horrors kehrt nach Berlin zurück

Source: Deutsche Nachrichten

  • “MEMENTO MORI – Deine letzte Stunde” – Die neue Show des Zirkus des Horrors
  • Internationale Akrobatik, Stunts, Schauspiel und Horror
  • Tickets 34–45 € (Special-Day donnerstags mit ermäßigten Preisen) 16. Mai bis 20. Juli 2025
  • Do–Sa um 19:30 Uhr, So um 16:00 Uhr
  • Zentraler Festplatz, Kurt-Schumacher-Damm 207, 13405 Berlin

Der Zirkus des Horrors bringt seine neue Produktion „MEMENTO MORI – Deine letzte Stunde“ nach Berlin – eine düstere Zirkus-Inszenierung, die Grenzen sprengt. Die Show verspricht eine Mischung aus packender Geschichte, schaurigen Gestalten und waghalsiger Artistik. Der Name ist Programm: „Memento Mori – erinnere dich an den Tod” wird hier zur eindrucksvollen Bühne für Nervenkitzel, Akrobatik und schwarzen Humor.

Die gesamte Vorstellung ist eingebettet in eine durchgängige Horror-Story, getragen von Schauspiel und aufwendigen Effekten. Auf dem Programm stehen spektakuläre Highlights: Motorräder rasen durch die legendäre Todeskugel, Luftakrobatinnen und – akrobaten vollführen waghalsige Kunststücke unter der Zeltkuppel, Rollschuh-Artistik wird mit Hochgeschwindigkeit zelebriert – und zwischendrin sorgen schräge Comedy und bizarre Freaks für Gänsehaut und schwarzes Gelächter. Es ist ein Zusammenspiel aus Show, Theater und Horror – einzigartig und intensiv.

Die Show ist für Erwachsene und Jugendliche ab 15 Jahren geeignet. Jeden Donnerstag findet ein SPECIAL-DAY statt, bei dem Besucherinnen und Besucher Tickets zu ermäßigten Preisen erhalten. Die Vorstellungen laufen donnerstags bis samstags um 19:30 Uhr, sonntags um 16:00 Uhr. Berlin ist nicht die einzige Station, vom 12.09. bis 02.11.2025 gastiert der Zirkus in Wien. Tickets hierfür gibt es auch bei Reservix.

Hier gibt es die Tickets für die Shows in Berlin.

HypΣ von Sachsenkabel: Kupfer- und Glasfaserverkabelung platzsparend vereint

Source: Deutsche Nachrichten
Mit HypΣ bringt LWL-Sachsenkabel GmbH ein neues Hybrid Distribution Panel auf den Markt, welches eine Lösung für Rechenzentren und Netzwerkinfrastrukturen, die Kupfer- und Glasfaserverkabelung kompakt auf einer Höheneinheit kombiniert. Das Hybrid Distribution Panel ist vollständig modular aufgebaut und lässt sich flexibel an unterschiedliche Anforderungen anpassen.

HypΣ wurde speziell für den Einsatz in Netzwerkumgebungen mit begrenztem Platzangebot in voll bestückten Datenschränken entwickelt. Durch die Kombination von RJ45-basierten Kupferanwendungen und Glasfaserinfrastruktur in einem System können zusätzliche Patchfelder eingespart werden. Dank des hochmodularen Baukastenprinzips lassen sich auch 2-Faser- und Mehrfaser-Systeme sowie Spleiß- und Patchlösungen flexibel integrieren – individuell zugeschnitten auf die jeweilige Anwendung.

Die Module lassen sich sowohl nach vorn als auch nach hinten vollständig entnehmen. Ein werkzeugfreier Entriegelungsmechanismus an der Vorderseite erleichtert die Handhabung und ermöglicht eine schnelle und sichere Installation. Die rückseitige, tiefenverstellbare Kabelführung sorgt zusammen mit optionalen Kabelabfangungen (M25, M32) für eine zuverlässige Zugentlastung.

Technische Merkmale im Überblick:

  • Modulträger: 19″, ausziehbar, 1 HE
  • Modulgrößen: ⅓ HE (bis zu 144 Fasern), ½ HE (bis zu 96 Fasern), 1 HE (bis zu 24 RJ45-Ports)
  • Modultypen: Patch- und Spleißmodule sowie Konvertermodule MPO-LC
  • Steckertypen: LC, SC, MPO, MDC, SN, RJ45 Cat.6A
  • Kabelmanagement: Frontseitiger Patchkabel-Manager, rückseitige Kabelführung tiefenverstellbar
  • Werkzeugfreie Installation: Module lassen sich über einen frontseitigen Entriegelungsmechanismus schnell einsetzen oder entnehmen – ideal für Wartung unter Live-Betrieb.

Besuchen Sie uns auf der Data Centre World in Frankfurt am Main – Halle 8, Stand L150B – und erleben Sie HypΣ live.

Weitere Informationen zum neuen Hybrid Distribution Panel erhalten Interessierte direkt vor Ort oder unter: www.sachsenkabel.de

The EBA updates list of other systemically important institutions

Source: European Banking Authority

The European Banking Authority (EBA) today updated the list of other systemically important institutions (O-SIIs) in the EU, which, together with global systemically important institutions (G-SIIs), are identified as systemically important by the relevant authorities according to harmonised criteria laid down in the EBA Guidelines. This list is based on year-end-2024 data and includes the overall score calculated according to the EBA Guidelines and the capital buffer rate that the relevant authorities have set for the identified O-SIIs. The list is available also through a user-friendly visualisation tool.

The EBA Guidelines define the size, importance, complexity and interconnectedness as the criteria to identify O-SIIs. They also provide flexibility to relevant authorities to apply their supervisory judgment when deciding to include other institutions, which might have not been automatically identified as O-SIIs. This approach ensures a comparable assessment of all financial institutions across the EU, whilst still not excluding those firms that may be deemed systemically important for one jurisdiction on the basis of certain specificities.

The list published today aims to increase transparency in the EU by providing an overview of OSIIs, including some key facts about the banks identified. 175 banks were identified as systemically important in 2024 (at the highest level of consolidation in each country) with buffer rates ranging from 0.25% to 3%, as shown in the chart below. Relevant authorities disclose further details on the underlying rationale and identification process for their respective jurisdictions. This additional information may be relevant to understand the specific features of each O-SII and to get some insight in terms of supervisory judgment, optional indicators used, buffer decisions and phase-in implementation dates. As underscored in the Capital Requirements Directive (CRD), the assessment of systemic importance necessary to identify O-SIIs remains under the remit of the national competent or designated authorities.

Wie Roboter „Laufen“ lernen: Heidelberger Schulklassen erkunden Zukunftsberufe

Source: Deutsche Nachrichten
Für Jugendliche vor dem Schulabschluss ist die Entscheidung für einen Beruf wegweisend – und häufig fällt sie schwer. Unterstützung erhalten sie durch das Bildungsprogramm COACHING4FUTURE, welches am 22.05.2025 das Technische Gymnasium an der Carl-Bosch-Schule im Stadtteil Wieblingen besucht. Zwei Coaches geben Einblicke in die Vielfalt der Ausbildungs- und Studienwege in den sogenannten MINT-Disziplinen Mathematik, Informatik, Naturwissenschaften und Technik. Im Gepäck haben sie einen Mitmach-Vortrag mit anschaulichen Beispielen und viel Technik zum Ausprobieren. Das Angebot soll den Schülerinnen und Schülern bei der Entscheidung helfen, ob ein technischer Beruf zu ihnen passt und Lust darauf machen, die Zukunft mitzugestalten.

Vor allem im Bereich der technischen Berufe ist die Auswahl groß: Ob neue IT-Berufe wie KI-Entwicklerin und Big-Data-Analyst oder klassische Technik-Berufe wie Maschinenbauerin und Chemielaborant – klugen Köpfen, die Technologien einsetzen und weiterentwickeln wollen, stehen in Baden-Württemberg viele Türen offen. Deshalb engagieren sich die Baden-Württemberg Stiftung, der Arbeitgeberverband SÜDWESTMETALL und die Regionaldirektion Baden-Württemberg der Bundesagentur für Arbeit mit dem Bildungsprogramm COACHING4FUTURE, um das Interesse von Jugendlichen an einer Arbeit im technischen Berufen zu wecken.

An der Carl-Bosch-Schule in Heidelberg informiert ein Coaching-Team die 9. Klasse des Technischen Gymnasiums, welche Aufgaben sie in MINT-Berufen erwarten und in welchen Branchen sie später einmal arbeiten können. Die Coaches laden am Donnerstag, 22. Mai, zu einem Mitmach-Vortrag und Workshops ein.

Interaktiver Vortrag: Technik ausprobieren und verstehen

Die Tech-Coaches Cornelia Mattern und Julian Rössler unterstützen die Schülerinnen und Schüler anhand von praxisnahen Beispielen aus gesellschaftlichen Zukunftsbereichen wie Wohnen, Mobilität, Medizin oder Umweltschutz bei der beruflichen Orientierung. In einem Vortrag mit Experimenten, AHA-Momenten und vielen Technikexponaten zum Ausprobieren stellen sie Entwicklungen aus naturwissenschaftlichen Forschungsbereichen vor. Auf diese Weise zeigen sie, was MINT-Berufe leisten, welche Technologien zum Einsatz kommen und wie junge Leute darin an der Lösung wichtiger Herausforderungen mitarbeiten können. Welche Themenbereiche behandelt werden, entscheiden die Schulklassen zu Beginn selbst.

Informationstechnik: Roboter bauen aus Würfelmodulen

Anschließend schnuppern die Jugendlichen bei Workshops in die Grundprinzipien der Robotik hinein. Mithilfe von Würfelmodulen, die verschiedene Funktionen erfüllen, können sie vorgegebene Aufgaben lösen. Manche Module können Helligkeit von Dunkelheit unterscheiden, andere Abstände erkennen oder Funktionen umkehren. Aus diesen „Bausteinen“ bauen die Teilnehmenden an der Carl-Bosch-Schule zum Beispiel Roboter, die bei Nacht das Licht anschalten oder wie Logistikroboter einer vorgegebenen Spur folgen. Nebenbei erfahren die Jugendlichen mehr über informationstechnische Berufe und über Robotik im Alltag und in der Arbeitswelt.

Interessen testen und Stellen finden

Das Online-Portal www.coaching4future.de bietet weiterführende Informationen. Der Interessentest „Karrierenavigator“ verrät, welche MINT-Studiengänge und -Ausbildungsberufe am besten zu den persönlichen Stärken und Neigungen passen. Netzwerkunternehmen des Programms stellen außerdem ihre Ausbildungs- und dualen Studienangebote im MINT-Bereich vor.

Die Baden-Württemberg Stiftung

Die Baden-Württemberg Stiftung setzt sich für ein lebendiges und lebenswertes Baden-Württemberg ein. Sie ebnet den Weg für Spitzenforschung, vielfältige Bildungsmaßnahmen und den verantwortungs-bewussten Umgang mit unseren Mitmenschen. Die Baden-Württemberg Stiftung ist eine der großen operativen Stiftungen in Deutschland. Sie ist die einzige, die ausschließlich und überparteilich in die Zukunft Baden-Württembergs investiert – und damit in die Zukunft seiner Bürgerinnen und Bürger. Mehr Informationen unter: www.bwstiftung.de

SÜDWESTMETALL

Der Arbeitgeberverband SÜDWESTMETALL ist der starke Partner für die Metall- und Elektroindustrie (M+E) in Baden-Württemberg. Er ist die Klammer der etwa 900 tarifgebundenen Betriebe mit ihren mehr als 500.000 Mitarbeitern – dies sind knapp 60 Prozent aller M+E-Beschäftigten im Südwesten. Bildung ist eine der wichtigsten Säulen der Verbandspolitik zur Fachkräftesicherung und dem Erhalt der Wettbewerbsfähigkeit der M+E-Industrie. SÜDWESTMETALL engagiert sich deshalb für die Stärkung der MINT-Bildung mit einer Fülle von Projekten in den Bereichen Kindergarten, Schule, Hochschule und Lehrkräftefortbildung. Mehr Informationen unter: www.suedwestmetall.de und www.suedwestmetall-macht-bildung.de

Bundesagentur für Arbeit

Die Bundesagentur für Arbeit (BA) erfüllt für Bürgerinnen und Bürger sowie für Unternehmen und Institutionen umfassende Dienstleistungsaufgaben für den Arbeits- und Ausbildungsmarkt. Zur Erfüllung dieser Dienstleistungsaufgaben steht bundesweit ein flächendeckendes Netz von Arbeitsagenturen und Geschäftsstellen zur Verfügung. Zu den wesentlichen Aufgaben der Bundesagentur für Arbeit gehören unter anderem die Berufsorientierung, die Berufsberatung sowie die Vermittlung in Ausbildungs- und Arbeitsstellen. Mehr Informationen unter: www.arbeitsagentur.de

Zugunsten einer besseren Verständlichkeit wird in diesem Dokument teilweise auf die weibliche bzw. männliche Sprachform verzichtet oder eine geschlechtsneutrale Formulierung gewählt. Die Unterschiede in der Lebenswirklichkeit von Frauen und Männern sind jedoch durchgängig berücksichtigt. Im Sinne der Gender Mainstreaming-Strategie der Bundesregierung vertritt die Baden-Württemberg Stiftung ausdrücklich eine Politik der gleichstellungssensiblen Informationsvermittlung.

Apotheken-News: Haftung ohne Schuld, Technik ohne Schutz, Markt ohne Grenzen

Source: Deutsche Nachrichten
Die wirtschaftliche Realität vieler Apotheken in Deutschland ist längst von Paradoxien durchzogen. Wer gesetzliche Vorgaben erfüllt, riskiert wirtschaftliche Sanktionen. Wer alternative Versorgungsformen sucht, wird digital abgehängt. Wer das System trägt, droht unterzugehen. Ein zentrales Beispiel sind die sogenannten Stückelungsretaxationen: Apotheken geben trotz Lieferengpässen exakt die verordnete Wirkstoffmenge ab, müssen dafür aber auf kleinere Packungen ausweichen – mit gravierenden Folgen. Die Krankenkassen akzeptieren die medizinisch wie rechtlich korrekte Abgabe nicht, sondern retaxieren den vollen Betrag. Besonders strittig ist dabei die Auslegung der Zuzahlungspflicht, deren Interpretation durch die Krankenkassen zunehmend als fiskalisches Druckmittel dient. Parallel dazu geraten Apotheken durch die elektronische Patientenakte unter neuen Rechtspflichten – ohne Zugriff auf vollständige Daten, ohne einheitliche Softwarestandards, ohne ausreichende Schulungen. Technisches Versagen und datenschutzrechtliche Unsicherheit lasten auf einem Berufsstand, der sich weiterhin als letzte niederschwellige Anlaufstelle für Gesundheitsfragen versteht. Und während die digitale Infrastruktur bröckelt, rollen Onlineanbieter wie Shop Apotheke den Markt strategisch auf – unterstützt durch das E-Rezept, Plattformintegration und aggressive Kundenbindung. Die Präsenzapotheke wird zum strukturellen Risikofaktor – nicht wegen Versäumnissen, sondern wegen gesetzlicher Inkonsistenzen und digitaler Disparitäten.

Die strukturelle Gefährdung inhabergeführter Apotheken in Deutschland nimmt 2025 eine neue Qualität an. Was sich in einzelnen Rückmeldungen, Kammerversammlungen und Verbandsstatements bereits seit Jahren andeutet, verdichtet sich zur Systemfrage: Apotheken, die gesetzliche Vorgaben korrekt erfüllen, tragen zunehmend das volle wirtschaftliche Risiko für strukturelle Widersprüche im Versorgungssystem. Eine zentrale Eskalationszone stellt dabei die Abrechnungspraxis bei Arzneimitteln dar, die aufgrund von Lieferengpässen nicht in der ursprünglich verordneten Packungsgröße verfügbar sind. Die betroffenen Apotheken sind gesetzlich verpflichtet, die Versorgung sicherzustellen – auch wenn dies bedeutet, mehrere kleinere Packungen abzugeben, um die verschriebene Wirkstoffmenge zu erreichen. Dennoch verweigern Krankenkassen in zahlreichen Fällen die Erstattung und retaxieren den vollen Abrechnungsbetrag.

Diese sogenannten Stückelungsretaxationen folgen einem rein formalen Argument: Die abgegebene Packung entspreche nicht der verordneten. Dass die abgegebene Gesamtmenge der verordneten entspricht und die Alternative medizinisch wie juristisch zulässig war, wird dabei bewusst ausgeblendet. Besonders prekär ist die Situation bei der Berechnung der Zuzahlung. Apotheken, die im Sinne der Patientinnen und Patienten eine einzige Zuzahlung ansetzen – da es sich faktisch um eine Ersatzlieferung handelt – werden ebenfalls retaxiert, weil die Kassen auf einer packungsbezogenen Berechnung bestehen. Damit entsteht eine paradoxe Lage: Die Einhaltung des Gesetzes führt zum wirtschaftlichen Schaden für die leistungserbringende Apotheke. Der Gesetzgeber schweigt, die Gerichte sind überlastet, und die Kassen nutzen den Graubereich für fiskalische Optimierung.

Parallel dazu geraten Apotheken mit der Einführung der elektronischen Patientenakte (ePA) in ein weiteres Spannungsfeld aus Normverpflichtung und Systemschwäche. Zwar soll die ePA langfristig die sektorenübergreifende Versorgung verbessern und unnötige Doppeluntersuchungen vermeiden. Doch in der Praxis offenbaren sich massive Probleme. Der Zugriff auf die Patientendaten ist fragmentiert, abhängig von externen Freigaben, technischen Schnittstellen und datenschutzrechtlichen Beschränkungen. Apotheken erhalten oft keinen vollständigen Zugriff, obwohl sie für Medikationsanalysen und pharmazeutische Dienstleistungen auf eine gesicherte Datenbasis angewiesen sind. Die eingesetzten Softwarelösungen sind nicht standardisiert, die Schulungen unzureichend, und der rechtliche Rahmen bleibt diffus. Haftungsfragen bei falscher Dateninterpretation oder -verwendung sind bislang ungeklärt – das Risiko tragen allein die Betriebe.

Hinzu kommt, dass Apotheken den Anforderungen der Telematikinfrastruktur und der ePA-Anbindung ohne staatliche Investitionshilfen begegnen müssen. Während ärztliche Einrichtungen teilweise gefördert wurden, stehen Apotheken mit den Kosten für Hardware, Sicherheitsmodule und Schulungsbedarf allein da. Viele Inhaber berichten bereits jetzt von zusätzlichen Belastungen im mittleren fünfstelligen Bereich. Die erhoffte Entlastung durch Digitalisierung bleibt aus – stattdessen wächst der administrative Aufwand.

Während Präsenzapotheken mit technologischer Unreife und rechtlicher Unsicherheit kämpfen, konsolidiert sich der Markt der Versandapotheken in rasantem Tempo. Die neueste Studie der Analyseagentur Smile AI prognostiziert bis Ende 2025 ein Nettoumsatzvolumen von über vier Milliarden Euro im Bereich des digitalen Arzneimittelversands. Wesentlicher Treiber dieser Entwicklung ist das elektronische Rezept. Hier hat sich ein Oligopol herausgebildet: Die Shop Apotheke hält laut Studie rund 54 Prozent des Marktanteils, DocMorris folgt mit etwa 29 Prozent. Beide Anbieter profitieren von der frühzeitigen Integration in digitale Plattformsysteme wie CardLink oder spezielle Kundenbindungsprogramme.

Besonders problematisch aus Sicht der Präsenzapotheken ist dabei die politische Schieflage: Während die Bundesregierung den Ausbau digitaler Strukturen propagiert, bleibt der Versorgungsauftrag der Vor-Ort-Apotheken unterfinanziert und regulatorisch überfrachtet. Neue pharmazeutische Dienstleistungen wie die Medikationsanalyse werden zwar politisch gefordert, jedoch nicht im notwendigen Umfang honoriert. Die Umsetzung scheitert häufig an fehlendem Personal, unklaren Abrechnungswegen und mangelnder Softwarekompatibilität.

Auch aus dem Bundesgesundheitsministerium kommen bislang keine belastbaren Antworten. Zwar wurde im Mai 2025 eine Sofortzahlung von 800 Millionen Euro an den Gesundheitsfonds geleistet, um eine drohende Zahlungsunfähigkeit abzuwenden. Doch die strukturelle Finanzierungskrise der gesetzlichen Krankenversicherung bleibt bestehen. Die Liquiditätsreserve des Gesundheitsfonds ist weiterhin kritisch – eine nachhaltige Reform der Einnahmenseite lässt bis mindestens 2027 auf sich warten.

Gleichzeitig steigt der politische Druck auf die Apotheken, effizienter und digitaler zu arbeiten – obwohl die Rahmenbedingungen genau dies erschweren. Die Realität in den Betrieben ist geprägt von Systemausfällen beim E-Rezept, widersprüchlichen Kassenforderungen bei der Arzneimittelabgabe und massiven Unsicherheiten beim Datenschutz. Die Balance zwischen Versorgungspflicht, Digitalisierung und ökonomischer Tragfähigkeit ist längst verloren.

Die strukturelle Demontage der Apothekenlandschaft zeigt sich nicht nur in wirtschaftlichen Kennzahlen, sondern auch in der Versorgungsrealität vor Ort. Immer mehr Betriebe schließen, viele Regionen geraten in eine Unterversorgungslage. Junge Apotheker schrecken vor einer Übernahme zurück, nicht aus mangelndem Interesse, sondern wegen fehlender Perspektiven und überbordender Bürokratie.

Die aktuelle Entwicklung ist keine betriebswirtschaftliche Delle, sondern ein systemischer Kipppunkt. Die Kombination aus Retaxrisiken trotz gesetzestreuer Abgabe, digitalem Kontrollverlust über die ePA und der schleichenden Marktverdrängung durch Plattformanbieter bedroht das Fundament der wohnortnahen Arzneimittelversorgung. Die Politik steht in der Pflicht, diesen Trend nicht nur zu moderieren, sondern aktiv umzukehren.

Kommentar:

Die Apotheke als gesellschaftlicher Versorgungsanker steht unter juristischer, digitaler und ökonomischer Dauerbelastung – und wird dabei zunehmend allein gelassen. Die paradoxe Realität: Apotheken werden für die Einhaltung gesetzlicher Pflichten sanktioniert, während die Gesetzgeber ihre eigenen Regulierungsfolgen weder antizipieren noch korrigieren. Die Stückelungsretax ist hierfür das wohl absurdeste Beispiel: Eine Apotheke, die trotz Lieferengpässen die verordnete Wirkstoffmenge abgibt, muss mit einer vollständigen Retaxation rechnen – schlicht, weil der Paragraf nicht präzise genug mit der Versorgungspraxis synchronisiert wurde. Das ist kein Einzelfall, sondern System.

Was hier in juristischem Gewand daherkommt, ist in Wirklichkeit eine ökonomische Machtverschiebung: Krankenkassen nutzen den Interpretationsspielraum zur Optimierung ihrer Ausgaben, auf Kosten der ohnehin finanziell ausgehöhlten Betriebe. Dass dabei eine faire und medizinisch fundierte Versorgung zur Regressfalle wird, ist nicht nur zynisch, sondern gefährlich. Die betriebliche Substanz wird ausgehöhlt, die Motivation junger Pharmazeuten untergraben, die Zukunftsfähigkeit eines ganzen Berufsstandes infrage gestellt.

Gleichzeitig wird die Digitalisierung zur Doppelfalle: Einerseits wird sie politisch als Allheilmittel propagiert – effizient, transparent, patientenzentriert. Andererseits bleibt die technische Umsetzung realitätsfern, unausgereift und vor allem: asymmetrisch. Die ePA ist ein Paradebeispiel für digitale Dysfunktionalität. Apotheken werden verpflichtet, Systeme vorzuhalten, deren Datennutzen unklar ist, deren Schnittstellen nicht funktionieren und deren Sicherheitsrisiken sie am Ende selbst tragen. Die Versprechen der Digitalisierung entpuppen sich als Belastungsprosa ohne substanziellen Nutzen im Alltag.

Der dritte Frontverlauf ist die Marktdynamik: Während Vor-Ort-Apotheken mit regulatorischen Altlasten kämpfen, agieren Onlineplattformen wie Shop Apotheke mit strategischem Tempo. Plattformökonomie trifft auf Einzelhandelsregulierung – ein ungleicher Kampf. Mit CardLink, automatisierter E-Rezept-Einlösung und gezieltem Direktmarketing steuern Versandapotheken längst die Patientenerwartung. Was politisch als “Gleichbehandlung” verkauft wird, ist de facto eine Bevorzugung durch Infrastrukturbegünstigung. Denn wo das Gesetz Plattformen keine Schranken setzt, entstehen keine Märkte, sondern Machtzentren.

Diese strukturellen Fehlsteuerungen haben Konsequenzen. Sie machen die Versorgung nicht effizienter, sondern anfälliger. Sie belasten nicht die Bürokratie, sondern die Betriebe. Sie sichern nicht das System, sondern destabilisieren es. Und sie lassen die Apotheken zurück – nicht als Reformverweigerer, sondern als Reformverlierer.

Die Frage lautet daher nicht mehr, ob Apotheken systemrelevant sind – sondern ob das System es sich noch leisten kann, diese Relevanz weiter auszuhöhlen. Denn wenn der wirtschaftliche Schaden durch Retaxationen, die juristische Unsicherheit durch die ePA und die marktstrategische Übermacht durch Plattformanbieter weiter kumulieren, entsteht keine Reform, sondern ein Strukturbruch.

Eine Kurskorrektur ist möglich – aber sie erfordert politischen Mut, regulatorische Präzision und vor allem eins: den Willen, den Apotheken nicht nur Symbolpolitik, sondern verlässliche Rahmenbedingungen zu bieten. Denn wer gesetzliche Versorgung verlangt, darf gesetzliche Strafen für diese Versorgung nicht tolerieren. Wer Digitalisierung fordert, muss digitale Machbarkeit garantieren. Und wer Gleichheit im Markt predigt, darf keine systematische Ungleichheit zulassen.

Wenn das Apothekenwesen nicht zum Kollateralschaden einer politischen Digital- und Strukturromantik werden soll, braucht es jetzt: rechtssichere Klarstellungen zur Stückelungsabgabe, eine sofortige finanzielle und technische Unterstützung bei der ePA-Anbindung – und ein Apothekenstrukturgesetz, das nicht auf Versprechen, sondern auf Verlässlichkeit basiert.

Denn eines ist sicher: Die Apotheken vor Ort brauchen keinen Applaus. Sie brauchen ein System, das ihnen nicht den Boden unter den Füßen wegzieht, während sie ihn für andere tragen.

Von Engin Günder, Fachjournalist

Apotheken-News: Apothekenschwund, Reformchaos, Industriebauten

Source: Deutsche Nachrichten
Was aussieht wie ein wirtschaftlicher Lichtblick, entpuppt sich bei näherem Hinsehen als Symptom einer schleichenden Katastrophe: Das prognostizierte Betriebsergebniswachstum 2025 basiert zu einem erheblichen Teil auf der Reduktion der Betriebsdichte durch Apothekenschließungen. Parallel zu dieser Entwicklung forciert die Industrie ihre Investitionen, wie das Milliardenprojekt von Lilly in Alzey belegt. Zugleich geraten Apotheker durch juristische Urteile unter Druck, etwa bei Berufsunfähigkeitsversicherungen für ihre Kinder. Sicherheitsrisiken wie ein dramatischer Messerangriff in Bremen oder politisch brisante Urteile zur Transparenz der EU-Kommission verstärken das Klima der Unsicherheit. Während Tirzepatid Semaglutid überflügelt und bei Long Covid erste Therapiestandards definiert werden, ringen Apotheken um ihr strukturelles Überleben. Neue politische Personalentscheidungen versprechen Weichenstellungen – doch ob sie reichen, bleibt offen. Diese Gemengelage aus Reformstau, wirtschaftlichem Überlebenskampf und industriepolitischer Neuordnung wirft die Frage auf, wie lange das System noch trägt.

Der wirtschaftliche Aufschwung, den die Apothekenstatistik für das Jahr 2025 aufzeigt, erweist sich bei näherer Betrachtung als Illusion mit fataler Signalwirkung. Wie Dr. Eckart Bauer vom Deutschen Apothekerverband auf dem diesjährigen DAV-Wirtschaftsforum analysierte, ist das prognostizierte Plus beim Betriebsergebnis nicht Ausdruck unternehmerischer Stärke oder politischer Stärkung, sondern Resultat einer strukturellen Auszehrung: Immer weniger Apotheken teilen sich den verbleibenden Umsatz, der durch Schließungen nicht etwa kompensiert, sondern rechnerisch umverteilt wird. In Wahrheit bedeutet dieses „Zwischenhoch“ eine wirtschaftliche Stagnation mit tödlicher Auswirkung auf die Versorgungsdichte – ein Befund, der besonders vor dem Hintergrund zunehmender Versorgungslücken in ländlichen Regionen beunruhigt.

Parallel zu dieser Entwicklung drängt sich ein weiterer Faktor in den Vordergrund: die juristische Unsicherheit für Apothekerinnen und Apotheker im Umgang mit Versicherungen. Ein Urteil eines Oberlandesgerichts hat kürzlich klargestellt, dass Berufsunfähigkeitsversicherungen für Kinder ungültig sein können, wenn die Eltern bei der Antragstellung wissentlich oder fahrlässig falsche Angaben machen. Besonders brisant ist die Tatsache, dass der Versicherungsschutz selbst dann entfällt, wenn das Kind – also der eigentliche Versicherungsnehmer – von der Falschangabe gar nichts wusste. Für viele Apothekerfamilien, die im Vertrauen auf familiäre Unterstützung Versicherungsanträge aufsetzen lassen, bedeutet dieses Urteil eine radikale Neudefinition von Haftungszonen. Die Botschaft ist unmissverständlich: Vertrauen ersetzt keine Sorgfalt.

Während Apotheken wirtschaftlich und rechtlich unter Druck geraten, zeigen sich andere Akteure des Gesundheitssystems weitaus handlungsfähiger. Mit einer Investitionssumme von rund 2,3 Milliarden Euro treibt der US-Pharmakonzern Eli Lilly in Rheinland-Pfalz eines der größten Produktionsprojekte der vergangenen Jahre voran. Auf einem Gelände in Alzey entsteht ein hochmoderner Komplex für injizierbare Medikamente wie das Adipositas- und Diabetesmittel Mounjaro mit dem Wirkstoff Tirzepatid. Bis 2027 sollen hier 1000 neue Arbeitsplätze geschaffen und die Produktion für den globalen Markt aufgenommen werden. Dieses Vorhaben unterstreicht nicht nur die zunehmende wirtschaftliche Relevanz der Adipositas-Therapie, sondern auch den industriepolitischen Kurswechsel: Während inhabergeführte Präsenzapotheken schwinden, setzen internationale Konzerne neue Standards in Größe, Logistik und Marktpräsenz.

Ein Beleg für diese pharmakologische Dynamik liefert eine neue Phase-3b-Studie, die kürzlich im „New England Journal of Medicine“ publiziert wurde. In einem direkten Vergleich wurde die Wirksamkeit von Tirzepatid gegen Semaglutid – dem bisherigen Platzhirsch unter den GLP-1-Agonisten – gemessen. Die Ergebnisse sprechen eine deutliche Sprache: Patienten, die mit Tirzepatid behandelt wurden, verloren durchschnittlich 20,2 Prozent ihres Körpergewichts – im Gegensatz zu nur 13,7 Prozent bei der Vergleichsgruppe mit Semaglutid. Die Studie markiert damit nicht nur einen therapeutischen Meilenstein, sondern auch eine Umwertung bestehender Marktpositionen.

Doch nicht nur wirtschaftliche oder medizinische Umbrüche prägen das Jahr 2025. Auch die sicherheitspolitische Dimension des Apothekenbetriebs ist erneut in den Fokus geraten: In Bremen kam es zu einem spektakulären Polizeieinsatz, als ein Mann mit einem Messer und einem Kind auf dem Arm vor einer Apotheke auftauchte und sich selbst zu verletzen drohte. Die Polizei konnte die Situation ohne körperliche Verletzungen entschärfen, doch das Motiv des Täters blieb zunächst im Dunkeln. Für viele Apothekenbetreiber wirft der Vorfall die Frage auf, wie es um ihre Sicherheit bestellt ist – und ob bestehende Schutzkonzepte noch ausreichen, um sowohl Personal als auch Kunden zu schützen.

Gleichzeitig sorgt ein Fall auf europäischer Ebene für Aufsehen: Das Gericht der Europäischen Union in Luxemburg hat der EU-Kommission eine klare Rüge erteilt. Im Streit um die Herausgabe von SMS-Nachrichten zwischen Kommissionspräsidentin Ursula von der Leyen und Pfizer-Chef Albert Bourla urteilte das Gericht, dass die Kommission ihrer Transparenzpflicht nicht nachgekommen sei. Die Argumentation der Brüsseler Behörde sei lückenhaft, widersprüchlich und unzureichend. Besonders brisant ist dieser Fall vor dem Hintergrund milliardenschwerer Impfstoffverträge, die ohne ausreichende parlamentarische Kontrolle abgeschlossen wurden. Für viele Apothekerinnen und Apotheker, die tagtäglich mit bürokratischer Detailtreue abrechnen müssen, offenbart sich hier ein doppelter Standard in der europäischen Gesundheitsgovernance.

Ein Hoffnungsschimmer kommt derweil aus der Versorgungsforschung: Die medizinisch-politische Aufarbeitung des Long-Covid-Komplexes macht Fortschritte. Eine vom Bundesinstitut für Arzneimittel und Medizinprodukte (BfArM) koordinierte Expertengruppe hat erstmals Empfehlungen ausgesprochen, welche Arzneimittel auch außerhalb ihrer Zulassung zur Therapie von Long Covid eingesetzt werden können – mit Erstattungsfähigkeit durch die Gesetzliche Krankenversicherung. Damit erhalten Patientinnen und Patienten mit chronischer Fatigue, POTS oder kognitiven Einschränkungen erstmals eine realistische Perspektive auf therapeutische Optionen. Für Apotheken bedeutet dies allerdings auch eine neue Verantwortung: Off-Label-Beratung, Dokumentation und Lieferfähigkeit müssen organisiert und rechtssicher umgesetzt werden.

Auch die politische Bühne hat sich verändert: Die CDU/CSU-Fraktion hat sich neu formiert, mit Jens Spahn an der Spitze und Simone Borchardt als neuer gesundheitspolitischer Sprecherin. Ihre Rolle dürfte entscheidend sein, wenn es um die Neuausrichtung der gesundheitspolitischen Agenda geht. Nach den Reformblockaden der vergangenen Jahre, die insbesondere die inhabergeführten Apotheken stark getroffen haben, erwarten viele Akteure nun klare Signale und strukturelle Entlastungen.

Ein weiteres Phänomen rückt unterdessen in das Bewusstsein der psychologischen Forschung: Flughäfen als Räume des Übergangs. Inmitten von Check-ins, Rollbändern und Gatezonen entsteht ein psychischer Schwebezustand, der Alltagslogiken aufhebt und emotionale Grenzzustände begünstigt. Diese Erkenntnis ist nicht nur für Reisende von Bedeutung, sondern könnte auch das Verständnis von Stressphänomenen bei Apothekenbesuchen – etwa in Urlaubszeiten oder bei Notdienstsituationen – verändern.

Die Gleichzeitigkeit dieser Entwicklungen – wirtschaftlich, juristisch, industriell, politisch und psychologisch – offenbart ein strukturelles Dilemma: Während einzelne Akteure investieren, reformieren oder therapeutisch neue Wege beschreiten, bleibt das Rückgrat der wohnortnahen Gesundheitsversorgung – die Präsenzapotheke – vielfach auf sich allein gestellt. Der scheinbare Aufschwung 2025 ist keine Entwarnung, sondern ein verzerrter Spiegel einer Überlebensökonomie. Wer ihn missversteht, riskiert, dass das System an genau jenem Punkt kollabiert, den man als stabilisiert ausgibt.

Kommentar:

Der Apothekenmarkt 2025 ist ein Paradebeispiel für die verheerende Wirkung einer politisch begleiteten Selbsttäuschung. Ein Betriebsergebnis, das auf dem Exodus der Wettbewerber basiert, ist kein Erfolg, sondern ein Symptom. Es ist das Kennzeichen eines kollabierenden Systems, in dem die Vitalfunktionen durch externe Impulse simuliert, aber nicht regeneriert werden. Der Rückgang der Apothekenzahl ist kein Betriebsunfall, sondern das Resultat eines jahrelangen Reformstaus, eines politischen Schweigens und eines ökonomischen Zermürbungskriegs, bei dem der Markt die Regulierungsversäumnisse der Politik kompensieren muss.

Besonders fatal ist dabei das politische Framing. Wenn selbst in Fachtagungen vom „Zwischenhoch“ gesprochen wird, dann wird die semantische Notlüge zur statistischen Beruhigungspille. Tatsächlich sehen wir den Rückzug der Präsenzversorgung in der Fläche, den Übergang von inhabergeführter Verantwortung zu logistikorientierter Renditemechanik. Die Pharmaindustrie expandiert, wie das Beispiel Lilly zeigt, mit beeindruckender Konsequenz – was betriebswirtschaftlich nachvollziehbar, aber gesundheitspolitisch ambivalent ist. Denn industrielle Produktion ersetzt keine patientennahe Beratung.

Auch die juristischen Signale des Jahres 2025 passen in dieses Bild einer strukturellen Verunsicherung: Ein BU-Urteil, das das familiäre Vertrauensverhältnis im Antragsvorgang zur Haftungsfalle macht, offenbart ein Rechtssystem, das zunehmend formalistischer agiert. Was als Schutzmechanismus für Versicherer gedacht war, entpuppt sich als Risiko für jene, die im Ernstfall am wenigsten dafür können – Kinder, die durch elterliche Fehlangaben ihren Versicherungsschutz verlieren. In Verbindung mit dem steigenden bürokratischen Druck auf Apothekenbetriebe ergibt sich eine toxische Gemengelage: Verantwortung wird ohne Rücksicht auf Zumutbarkeit delegiert.

Auch auf der europäischen Ebene bröckelt das Vertrauen: Die Verweigerung der Kommission, entscheidende Dokumente zur Impfstoffbeschaffung offenzulegen, und das Urteil aus Luxemburg dazu, zeigen ein institutionelles Transparenzversagen, das auf allen Ebenen Auswirkungen hat. Während Apotheken penibel alle Prozesse dokumentieren müssen, um gegenüber Krankenkassen, Aufsichtsbehörden oder Gerichten Rechenschaft abzulegen, agieren politische Spitzenstellen in intransparenter Exklusivität.

Und dennoch: Hoffnung existiert. Die Tirzepatid-Studie markiert nicht nur einen Fortschritt in der Therapie von Adipositas, sondern auch eine Neubewertung pharmakologischer Wirkmechanismen. Long Covid wird politisch endlich als behandelbare Entität anerkannt, und erste Schritte hin zu einer Kassenregulierung werden sichtbar. Die neue gesundheitspolitische Führungsfigur in der Union, Simone Borchardt, hat die Chance – und die Pflicht –, diese Entwicklungen nicht nur zu begleiten, sondern auch strukturell abzusichern.

Die Lehre aus 2025 lautet: Wer Reformen aufschiebt, provoziert Systemverwerfungen. Wer Schließungen als Marktbereinigung verklärt, untergräbt Versorgungssicherheit. Und wer pharmaindustriellen Fortschritt nicht in ein tragfähiges Gesamtmodell einbettet, riskiert ein Zweiklassensystem der Versorgung. Die Zeit des taktischen Zauderns ist vorbei. Was nun beginnt, ist der Kampf um die Grundstruktur des Gesundheitswesens – und um das Überleben jener, die es tragen.

Von Engin Günder, Fachjournalist

Die Shortlister der Queb HR Innovation Awards 2025 stehen fest!

Source: Deutsche Nachrichten
Der nächste Meilenstein der Queb HR Innovation Awards 2025 ist erreicht: Die Shortlister stehen fest! Auch in diesem Jahr haben zahlreiche Unternehmen und Dienstleister ihre innovativen HR-Projekte eingereicht.

Die Bewerbungen zeigen eindrucksvoll, wie vielfältig, kreativ und wirksam zukunftsweisende HR-Initiativen heute gestaltet werden können. Die ausgewählten Shortlister setzen dabei neue Maßstäbe im Bereich Employer Branding, Recruiting und Personalmarketing.

Wahl der Shortlister

Die Jury besteht aus erfahrenen Expertinnen und Experten aus Wirtschaft und Wissenschaft. Sie bringt unterschiedliche Perspektiven und Fachwissen ein. Auch in diesem Jahr war die Auswahl anspruchsvoll: Aus insgesamt 33 Bewerbungen wurden in den beiden Kategorien „Unternehmen“ und „Dienstleister“ jeweils drei Shortlister nominiert.

Das sind die nominierten Shortlister

Shortlist-Kandidaten in der Kategorie Unternehmen:

  • Bayer AG mit „Talent Gateway“ – Eine KI-gestützte Plattform, die Mitarbeitenden in Transformationssituationen hilft, sich mit externen Jobangeboten zu vernetzen, individuelle Skill-Gap-Analysen durchzuführen und passende Lernangebote zu erhalten. Mit dem Ziel, sozialverträglich und zukunftsfähig den Wechsel von „Arbeit in Arbeit“ zu ermöglichen
  • BioNTech SE mit „Recruiting powered by Predictive Analytics“ – BioNTech nutzt datengetriebene Analysen und Machine Learning, um Recruiting-Bedarfe effizient zu steuern, den Cultural Fit von Bewerbenden zu berücksichtigen und mit Performance-Marketing-Maßnahmen entlang des gesamten Funnels das High-Volume-Recruiting gezielt zu optimieren
  • Deutsche Bahn AG mit „Robotic Process Automation für HR-Prozesse“ – Das Projekt der Deutschen Bahn automatisiert wiederkehrende Aufgaben im Recruiting. Etwa Terminvereinbarungen, Jobreports oder E-Mail-Kommunikation. Mithilfe von RPA-Bots steigert die Bahn ihre die Effizienz, entlastet HR-Teams und beschleunigt Prozesse deutlich.

Shortlist-Kandidaten in der Kategorie Dienstleister:

  • aurio Technology GmbH mit einer KI-gestützten Active Sourcing-Lösung – aurio automatisiert den kompletten Active-Sourcing-Prozess, von der Talentsuche über die personalisierte Ansprache bis zur Kalendereinladung. Mithilfe eines KI-Agenten, der Recruiter:innen zehntausende Minuten manuelle Arbeit erspart und Interviewquoten deutlich erhöht
  • CYQUEST GmbH mit dem Fielmann Ausbildungsmatcher – Fielmanns „Ausbildungsmatcher“ von CYQUEST kombiniert Matching-Tool und spielerisches Recruiting Game, um Schülern realistische Einblicke in die Berufe Augenoptik und Hörakustik zu geben. Gleichzeitig fördert eine Selbstselektion passgenauere Bewerbungen.
  • Peaches (femfertility GmbH) mit einem Female Lifecycle Management Ansatz – Peaches unterstützt Unternehmen dabei, mit datenbasierten Analysen und einer Female Health-Plattform Frauen entlang ihres Lebenszyklus (z. B. Schwangerschaft, Menopause) gezielt zu fördern, um Diversity, Retention und Performance nachhaltig zu verbessern

Wer am Ende gewinnt, entscheidet das Publikum. Die endgültigen Preisträger werden live bei der Verleihung der Queb HR Innovation Awards auf dem EMBRACE Festival am 25.06.2025 in Berlin gekürt.
Erstmalig besteht 2025 durch die Kooperation mit den Trendence Awards powered by EMBRACE eine besondere Synergie: die Gewinner der Queb HR Innovation Awards werden automatisch als Shortlister bei den renommierten Trendence Awards gelistet.

Im Folgenden finden sich ein paar O-Töne unserer JurorInnen wieder.

„Die eingereichten Awards zeigen ein kreatives Bild der Recruiting- und Employer-Branding-Szene. Mich haben die neuen Wege, insbesondere was die Learning-Aspekte oder die Canvas-Modelle angeht, ebenso begeistert, wie die neuen Ansätze für die Leistungsbeurteilung. Da sind Aspekte dabei, die hoffentlich bald Standard sein werden.“ Meint Marcus Reif aus unserem Queb-Beirat.

Bernd Schmitz, aus dem Queb Ehrenrat schwärmt: „aurio Technology GmbH hebt Active Sourcing auf ein völlig neues Niveau – mit KI, Fairness und echtem Impact.“ Während die CYQUEST GmbH eine Lösung mit echtem Blaupausenpotenzial bietet: datenbasiert, userfreundlich und nachweislich wirksam.“

Prof. Dr. Tim Weitzel, Queb-Beirat, betont: „Insgesamt waren es richtig gute Einreichungen. Besonders bemerkenswert sind nützliche Professionalisierungen, die sich deutlich hervorheben, wie die Deutsche Bahn AG mit Robotic Process Automation für HR-Prozesse.“

Bayer AG zeigt mit dem „Talent Gateway“, wie interne Mobilität heute gedacht werden muss: skills-orientiert, transparent – und strategisch relevant für moderne Karrierepfade“, erklärt Bernd Schmitz, Queb Ehrenrat.

Über BioNTech SE sagt Florian Dyballa, Queb Award Gewinner 2024: „Die Kombination aus Systematik, Skalierbarkeit und nachweisbarem Erfolg macht BioNTech zu einem klaren Spitzenprojekt und zeigt, wie Recruiting durch den gezielten Einsatz von Daten auf ein neues Level gehoben werden kann.“

Peaches (femfertility GmbH) sei ein mutiger, relevanter und zugleich strategisch kluger Beitrag zur Diversität im Arbeitsleben.“ Meint Bernd Schmitz, Queb Ehrenrat.

Wir freuen uns auf, die kreativen und innovativen Projekte unserer Award-Bewerber und auf ihre Präsentationen. Die Gewinner werden in einer aufregenden Live-Pitch-Session von den Teilnehmern des Festivals gewählt.