Indicateurs de la pédagogie spécialisée : mise à jour 2024

Source: Switzerland – Canton Government of Geneva in French

Cette publication annuelle propose des données sur les mesures de pédagogie spécialisée à Genève et sur les élèves qui en bénéficient.

Depuis 2023, le SRED publie des Indicateurs de la pédagogie spécialisée qui visent à monitorer l’évolution des différentes mesures de pédagogie spécialisée octroyées à Genève (indicateur 1), à décrire les profils des élèves bénéficiant de ces mesures (indicateur 2), et à analyser leur temporalité et durée (indicateur 3) ainsi que les parcours des élèves (indicateur 4).

Dans cette édition 2024, on constate une légère baisse, entre les années scolaires 2022-23 et 2023-24, du nombre de mesures ordinaires de logopédie et psychomotricité. Il en va de même pour les mesures renforcées de type inclusif (soutien pédagogique en enseignement spécialisé (SPES) et éducation précoce spécialisée (EPS)). Concernant le SPES et l’EPS, cette évolution s’explique en grande partie par les choix du DIP de remplacer ces mesures par des mesures collectives dans les établissements (conseil et soutien depuis 2023-24) et dans les classes de 1P-2P (co-intervention depuis 2024-25 dans le cadre du plan d’action Entrée en scolarité).

La part d’élèves dans des dispositifs séparatifs (écoles de pédagogie spécialisée) ou intégratifs (classes intégrées) est restée globalement stable au cours des deux dernières années.

Enfin, le taux de certification des élèves de l’enseignement spécialisé a évolué positivement entre 2013 et 2023. Il reste toutefois inférieur à celui des élèves de l’enseignement régulier.

Retrouvez l’ensemble des indicateurs ici : Indicateurs de la pédagogie spécialisée. Édition 2024  (mai 2025, 37 p.)


Analyser l’éducation

La Newsletter 2/2025 du BPEV est en ligne

Source: Switzerland – Canton Government of Geneva in French

Le BPEV a le plaisir de vous annoncer la sortie de sa Newsletter 2/2025

Découvrez les dernières actualités, projets et événements en cours pour promouvoir l’égalité et lutter contre les violences sexistes et sexuelles.

Nos thématiques vous intéressent ? Abonnez-vous à la Newsletter du BPEV : 

Remplacement d’un conseiller municipal en avril 2025

Source: Switzerland – Canton Government of Geneva in French

Le Conseil d’Etat a transmis son rapport au Grand Conseil sur une une motion intitulée ” STOP à une médecine à deux vitesses ! “, qui demande le renforcement de la prévention des maladies cardiovasculaires (MCV), en particulier auprès des populations vulnérables.

Bien que conscient de la problématique soulevée par la motion, le Conseil d’Etat estime que sa mise en œuvre sous la forme d’un nouveau dispositif soulève plusieurs questions. D’une part, la prévention secondaire des MCV fait déjà partie du mandat des médecins de premier recours. La mise en place d’un nouveau programme représenterait par ailleurs un coût important pour l’Etat, sans réelle plus-value par rapport aux dispositifs actuels.

Dans son rapport, le gouvernement rappelle  que le canton, à travers une large palette de prestations couvertes aussi bien par les HUG que par les associations de terrain, mène déjà une politique de santé publique intensive en matière de prévention des maladies. De plus, plusieurs dispositifs sont déjà en place pour favoriser le dépistage et la prévention des maladies cardiovasculaires auprès des populations vulnérables, complétés par des aides financières permettant une prise en charge des frais de santé pour les personnes à bas revenu.

Le Conseil d’Etat souligne enfin que plusieurs démarches sont en cours, comme le développement de l’application SOFIA, pour renforcer l’intégration de la prévention dans les pratiques de soins et la coordination entre les acteurs de la santé. 

Le Conseil d’Etat estime donc que si la motion souligne des besoins pertinents, sa mise en œuvre sous forme d’un nouveau programme pourrait générer des redondances dans un paysage déjà structuré. Il privilégie ainsi le renforcement des mesures existantes, en particulier à travers l’information pour les publics les plus exposés aux inégalités de santé.

Le Conseil d’Etat favorable à une participation équitable de la SSR au marché de la production audiovisuelle

Source: Switzerland – Canton Government of Geneva in French

Le Conseil d’Etat a transmis son rapport au Grand Conseil sur une une motion intitulée ” STOP à une médecine à deux vitesses ! “, qui demande le renforcement de la prévention des maladies cardiovasculaires (MCV), en particulier auprès des populations vulnérables.

Bien que conscient de la problématique soulevée par la motion, le Conseil d’Etat estime que sa mise en œuvre sous la forme d’un nouveau dispositif soulève plusieurs questions. D’une part, la prévention secondaire des MCV fait déjà partie du mandat des médecins de premier recours. La mise en place d’un nouveau programme représenterait par ailleurs un coût important pour l’Etat, sans réelle plus-value par rapport aux dispositifs actuels.

Dans son rapport, le gouvernement rappelle  que le canton, à travers une large palette de prestations couvertes aussi bien par les HUG que par les associations de terrain, mène déjà une politique de santé publique intensive en matière de prévention des maladies. De plus, plusieurs dispositifs sont déjà en place pour favoriser le dépistage et la prévention des maladies cardiovasculaires auprès des populations vulnérables, complétés par des aides financières permettant une prise en charge des frais de santé pour les personnes à bas revenu.

Le Conseil d’Etat souligne enfin que plusieurs démarches sont en cours, comme le développement de l’application SOFIA, pour renforcer l’intégration de la prévention dans les pratiques de soins et la coordination entre les acteurs de la santé. 

Le Conseil d’Etat estime donc que si la motion souligne des besoins pertinents, sa mise en œuvre sous forme d’un nouveau programme pourrait générer des redondances dans un paysage déjà structuré. Il privilégie ainsi le renforcement des mesures existantes, en particulier à travers l’information pour les publics les plus exposés aux inégalités de santé.

Permis dans le domaine des produits chimiques: soutien avec remarque à la révision proposée

Source: Switzerland – Canton Government of Geneva in French

Le Conseil d’Etat a transmis son rapport au Grand Conseil sur une une motion intitulée ” STOP à une médecine à deux vitesses ! “, qui demande le renforcement de la prévention des maladies cardiovasculaires (MCV), en particulier auprès des populations vulnérables.

Bien que conscient de la problématique soulevée par la motion, le Conseil d’Etat estime que sa mise en œuvre sous la forme d’un nouveau dispositif soulève plusieurs questions. D’une part, la prévention secondaire des MCV fait déjà partie du mandat des médecins de premier recours. La mise en place d’un nouveau programme représenterait par ailleurs un coût important pour l’Etat, sans réelle plus-value par rapport aux dispositifs actuels.

Dans son rapport, le gouvernement rappelle  que le canton, à travers une large palette de prestations couvertes aussi bien par les HUG que par les associations de terrain, mène déjà une politique de santé publique intensive en matière de prévention des maladies. De plus, plusieurs dispositifs sont déjà en place pour favoriser le dépistage et la prévention des maladies cardiovasculaires auprès des populations vulnérables, complétés par des aides financières permettant une prise en charge des frais de santé pour les personnes à bas revenu.

Le Conseil d’Etat souligne enfin que plusieurs démarches sont en cours, comme le développement de l’application SOFIA, pour renforcer l’intégration de la prévention dans les pratiques de soins et la coordination entre les acteurs de la santé. 

Le Conseil d’Etat estime donc que si la motion souligne des besoins pertinents, sa mise en œuvre sous forme d’un nouveau programme pourrait générer des redondances dans un paysage déjà structuré. Il privilégie ainsi le renforcement des mesures existantes, en particulier à travers l’information pour les publics les plus exposés aux inégalités de santé.

Parking place Cornavin: signature d’une convention partenariale et simplification des démarches d’autorisation de construire

Source: Switzerland – Canton Government of Geneva in French

Le Conseil d’Etat a transmis son rapport au Grand Conseil sur une une motion intitulée ” STOP à une médecine à deux vitesses ! “, qui demande le renforcement de la prévention des maladies cardiovasculaires (MCV), en particulier auprès des populations vulnérables.

Bien que conscient de la problématique soulevée par la motion, le Conseil d’Etat estime que sa mise en œuvre sous la forme d’un nouveau dispositif soulève plusieurs questions. D’une part, la prévention secondaire des MCV fait déjà partie du mandat des médecins de premier recours. La mise en place d’un nouveau programme représenterait par ailleurs un coût important pour l’Etat, sans réelle plus-value par rapport aux dispositifs actuels.

Dans son rapport, le gouvernement rappelle  que le canton, à travers une large palette de prestations couvertes aussi bien par les HUG que par les associations de terrain, mène déjà une politique de santé publique intensive en matière de prévention des maladies. De plus, plusieurs dispositifs sont déjà en place pour favoriser le dépistage et la prévention des maladies cardiovasculaires auprès des populations vulnérables, complétés par des aides financières permettant une prise en charge des frais de santé pour les personnes à bas revenu.

Le Conseil d’Etat souligne enfin que plusieurs démarches sont en cours, comme le développement de l’application SOFIA, pour renforcer l’intégration de la prévention dans les pratiques de soins et la coordination entre les acteurs de la santé. 

Le Conseil d’Etat estime donc que si la motion souligne des besoins pertinents, sa mise en œuvre sous forme d’un nouveau programme pourrait générer des redondances dans un paysage déjà structuré. Il privilégie ainsi le renforcement des mesures existantes, en particulier à travers l’information pour les publics les plus exposés aux inégalités de santé.

Le 3919 accompagne les femmes victimes de violences

Source: Republic of France in French
La République française a publié la déclaration suivante:

Le 3919 assure un premier accueil pour toutes les femmes victimes de violences sexistes. En fonction de leur situation, les femmes sont orientées vers les associations locales ou nationales partenaires les mieux à même d’apporter une réponse ou un accompagnement.

Les appels peuvent concerner tous les types de violences sexistes : violences conjugales, violences sexuelles, mariages forcés, mutilations sexuelles féminines, violences au travail.

Le 3919

Le 3919, c’est :

  • un numéro gratuit et anonyme ;
  • un numéro accessible 24h/24 et 7j/7 ;
  • un numéro accessible aux personnes sourdes et malentendantes ;
  • un numéro joignable par mobile ou téléphone fixe en métropole et dans les départements d’outre-mer ;
  • une équipe d’écoutants professionnels qui délivre des informations sur la marche à suivre face à une situation de violence ;
  • un numéro qui s’adresse également à l’entourage des victimes et aux professionnels concernés.

À noter

Le 3919 propose une écoute dans 12 langues différentes, en plus du français (les personnes assurant ce service n’étant présentes que sur certains créneaux, on vous proposera de rappeler aux horaires adaptées) : anglais, arabe, créole, dari, espagnol, hébreu, kabyle, mandarin, persan, polonais, portugais et turc.

Solidarité Femmes

Le 3919 est porté par la Fédération nationale Solidarité Femmes et soutenu par le Secrétariat d’État chargé de l’égalité entre les femmes et les hommes.

Etes-vous victime de violences conjugales ? Connaissez-vous vos droits ?

Le site de Solidarité Femmes vous informe (que dit la loi ? le rôle de l’avocat, le harcèlement moral, la situation des femmes étrangères, etc.) et vous indique la marche à suivre en termes de procédures.

La Fédération s’appuie par ailleurs sur un réseau de 81 associations spécialisées réparties sur tout le territoire qui proposent aux femmes :

  • des dispositifs d’hébergement ou au sein de lieux d’accueil spécialisés ;
  • plus de 3 000 places d’hébergement d’urgence ou plus pérenne (soit 50 % des places dédiées aux femmes victimes de violence en France) ;
  • des accueils de jour et des permanences de proximité (au sein des hôpitaux, des mairies, des commissariats, des gendarmeries, etc.).

Consulter la liste des associations partenaires par régions.

À savoir  

En cas de danger immédiat face à une situation de violence, il faut appeler la police, la gendarmerie ou les pompiers en composant le 17 ou le 18.

Non à la révision de l’ordonnance concernant la réduction des risques liés aux produits chimiques

Source: Switzerland – Canton Government of Geneva in French

Le Conseil d’Etat a transmis son rapport au Grand Conseil sur une une motion intitulée ” STOP à une médecine à deux vitesses ! “, qui demande le renforcement de la prévention des maladies cardiovasculaires (MCV), en particulier auprès des populations vulnérables.

Bien que conscient de la problématique soulevée par la motion, le Conseil d’Etat estime que sa mise en œuvre sous la forme d’un nouveau dispositif soulève plusieurs questions. D’une part, la prévention secondaire des MCV fait déjà partie du mandat des médecins de premier recours. La mise en place d’un nouveau programme représenterait par ailleurs un coût important pour l’Etat, sans réelle plus-value par rapport aux dispositifs actuels.

Dans son rapport, le gouvernement rappelle  que le canton, à travers une large palette de prestations couvertes aussi bien par les HUG que par les associations de terrain, mène déjà une politique de santé publique intensive en matière de prévention des maladies. De plus, plusieurs dispositifs sont déjà en place pour favoriser le dépistage et la prévention des maladies cardiovasculaires auprès des populations vulnérables, complétés par des aides financières permettant une prise en charge des frais de santé pour les personnes à bas revenu.

Le Conseil d’Etat souligne enfin que plusieurs démarches sont en cours, comme le développement de l’application SOFIA, pour renforcer l’intégration de la prévention dans les pratiques de soins et la coordination entre les acteurs de la santé. 

Le Conseil d’Etat estime donc que si la motion souligne des besoins pertinents, sa mise en œuvre sous forme d’un nouveau programme pourrait générer des redondances dans un paysage déjà structuré. Il privilégie ainsi le renforcement des mesures existantes, en particulier à travers l’information pour les publics les plus exposés aux inégalités de santé.

Pour un contournement de Soral qui réponde aux préoccupations des habitants du sud du canton: réponse à une motion

Source: Switzerland – Canton Government of Geneva in French

Le Conseil d’Etat a transmis son rapport au Grand Conseil sur une une motion intitulée ” STOP à une médecine à deux vitesses ! “, qui demande le renforcement de la prévention des maladies cardiovasculaires (MCV), en particulier auprès des populations vulnérables.

Bien que conscient de la problématique soulevée par la motion, le Conseil d’Etat estime que sa mise en œuvre sous la forme d’un nouveau dispositif soulève plusieurs questions. D’une part, la prévention secondaire des MCV fait déjà partie du mandat des médecins de premier recours. La mise en place d’un nouveau programme représenterait par ailleurs un coût important pour l’Etat, sans réelle plus-value par rapport aux dispositifs actuels.

Dans son rapport, le gouvernement rappelle  que le canton, à travers une large palette de prestations couvertes aussi bien par les HUG que par les associations de terrain, mène déjà une politique de santé publique intensive en matière de prévention des maladies. De plus, plusieurs dispositifs sont déjà en place pour favoriser le dépistage et la prévention des maladies cardiovasculaires auprès des populations vulnérables, complétés par des aides financières permettant une prise en charge des frais de santé pour les personnes à bas revenu.

Le Conseil d’Etat souligne enfin que plusieurs démarches sont en cours, comme le développement de l’application SOFIA, pour renforcer l’intégration de la prévention dans les pratiques de soins et la coordination entre les acteurs de la santé. 

Le Conseil d’Etat estime donc que si la motion souligne des besoins pertinents, sa mise en œuvre sous forme d’un nouveau programme pourrait générer des redondances dans un paysage déjà structuré. Il privilégie ainsi le renforcement des mesures existantes, en particulier à travers l’information pour les publics les plus exposés aux inégalités de santé.