Festival Bastions de l’égalité – 14 juin 2025

Source: Switzerland – Canton Government of Geneva in French

Le Festival Bastions de l’égalité revient le 14 juin au Parc des Bastions, transformant ce lieu emblématique en un village vibrant dédié à l’égalité, la solidarité et la diversité. Organisé par la Fondation pour l’égalité de genre (FEG) et le Réseau femmes*, cet événement unique en Suisse romande rassemble plus de 70 associations locales actives dans la promotion de l’égalité et de la cohésion sociale.

Mettre en lumière la richesse du tissu associatif

Depuis sa première édition en 2019, le festival s’est imposé comme un moment fort de la vie associative et féministe genevoise. Il vise à sensibiliser le grand public à la richesse et à la diversité des initiatives locales en matière d’égalité de genre. Espaces thématiques, animations pédagogiques et rencontres permettent de découvrir les services, actions concrètes et projets inspirants portés par les associations participantes.

Une journée d’échanges, de découvertes et de fête

Pensé comme un lieu de dialogue entre associations et grand public, le festival invite tout le monde à participer à une journée riche en échanges, en créativité et en réflexion collective. Au programme : activités ludiques, ateliers créatifs, performances artistiques, permanences juridiques, discussions engagées, concerts, DJ sets, conférences, cours de danse participatifs ou encore tournoi de foot inclusif.

Une dynamique collective au service de l’égalité

Au-delà de sa dimension festive, le festival constitue une précieuse opportunité de rencontres entre associations. Il encourage la collaboration, la mise en réseau et la visibilité de leurs engagements, tout en renforçant le lien avec le public genevois.

Apostille : elle est désormais délivrée par les notaires

Source: Republic of France in French
La République française a publié la déclaration suivante:

L’apostille et la légalisation : qu’est-ce que c’est ?

Pour présenter un acte public français auprès d’une autorité étrangère, l’authentification préalable de la signature de l’autorité qui a délivré le document peut être exigée :

  • La légalisation est la procédure d’authentification préalable de la signature de l’autorité ayant délivré le document.
  • L’apostille est une procédure simplifiée de légalisation. Elle remplace la légalisation pour les pays où elle s’applique, c’est-à-dire les pays signataires de la Convention de La Haye du 5 octobre 1961.

La légalisation et l’apostille attestent, toutes deux, de la véracité de la signature de l’auteur de l’acte, de la qualité en laquelle le signataire de l’acte a agi et, si besoin, de l’identité du sceau ou du timbre indiqué sur l’acte.

Exemples de documents sur lesquels vous pouvez avoir besoin d’une apostille ou d’une légalisation :

  • actes d’état civil (naissance, mariage, décès) ;
  • diplômes et certificats scolaires ;
  • jugements et décisions judiciaires ;
  • actes notariés ;
  • certificats administratifs (casier judiciaire, certificats de résidence, etc.).

Ce qui a changé au 1er mai 2025

Par l’intermédiaire de 15 Conseils régionaux ou Chambres interdépartementales de notaires compétents, depuis le 1er  mai 2025, les Notaires de France délivrent les apostilles en lieu et place des parquets généraux des 33 cours d’appel.

À quel régime appartient mon document : apostille, légalisation ou dispense ?

Pour vérifier si le document doit être légalisé, apostillé ou est dispensé de formalité, vous devez consulter le récapitulatif des règles par pays mis à jour par le ministère des Affaires étrangères.

À noter

Les formalités de légalisation des actes publics établis par une autorité française et destinés à être présentés à l’étranger seront modifiées à partir du 1er septembre 2025.

Pour en savoir plus sur la réforme de l’apostille

Formation : un simulateur pour visualiser vos ressources

Source: Republic of France in French
La République française a publié la déclaration suivante:

Comment fonctionne le simulateur ?

Que vous ayez un projet de formation précis ou simplement une envie d’explorer vos possibilités, le simulateur « Mes Ressources Formation » vous permet d’obtenir le montant détaillé de vos ressources sur les 6 prochains mois. Il vous suffit de remplir les champs du simulateur (votre situation, vos aides ou allocations perçues…) pour obtenir une estimation adaptée. Jusqu’à 10 aides et allocations peuvent être prises en compte (RSA, ASS, Prime d’activité, Aide au logement, Aide à la mobilité, etc.).

Ce simulateur permet d’accéder à 3 niveaux de simulation selon le degré de maturité du projet de formation :

  • une estimation simplifiée du montant de rémunération uniquement ;
  • une estimation détaillée du montant de la rémunération de formation et des allocations ;
  • une estimation personnalisée du montant de la rémunération de formation, des allocations et des aides pour un projet de formation défini.

Vous aurez la possibilité de télécharger un PDF imprimable du résultat de l’estimation.

À noter

En fin de simulation, vous pourrez être redirigé vers d’autres services en lien avec le projet de formation (Trouver ma formation, Immersion Facilitée, Mes Aides, Mes évènements Emploi, Mon enfant.fr, le site de la Région et Métier Scope).

Qui est concerné ?

« Mes Ressources Formation » est un simulateur qui s’adresse à des publics en transition professionnelle ou confrontés à des difficultés sociales :

Pour les autres situations, une page d’informations dédiée sera proposée afin de guider chaque usager selon son profil.

« Mes Ressources Formation » est également un atout pour les conseillers en insertion professionnelle (conseillers France Travail, prestataires des départements, associations..). Il leur offre un moyen efficace d’accompagner les usagers dans leur projet de formation, en fournissant des informations claires et personnalisées sur les implications financières.

À noter

Depuis le 15 avril 2024, le simulateur est directement accessible aux allocataires depuis le guide des simulateurs en parcours authentifié et non authentifié, avec l’assistance d’un accompagnant ou en toute autonomie.

Quelles sont les régions concernées ?

Le service est ouvert pour l’instant dans 13 régions :

  • Auvergne-Rhône-Alpes,
  • Bourgogne-Franche-Comté,
  • Centre-Val de Loire,
  • Corse,
  • Grand Est,
  • Hauts-de-France,
  • Île-de-France,
  • La Réunion,
  • Normandie,
  • Nouvelle-Aquitaine,
  • Occitanie,
  • Pays de la Loire,
  • Provence-Alpes-Côte d’Azur.

Il sera prochainement disponible pour la Bretagne, et les départements et régions d’Outre-mer (Guadeloupe, Guyane, Martinique et Mayotte).

Le simulateur va bientôt ouvrir aux bénéficiaires de l’ARE et de la prime d’activité.

Début de l’année de fonctions 2025/2026 du Conseil-exécutif

Source: Switzerland – Canton Government of Bern in French

Les membres du gouvernement bernois se sont réunis pour la photo officielle du Conseil-exécutif pour l’année de fonctions 2025/2026. Cette année, la photo a été prise par le photographe thounois Thomas Baumann à l’Hôtel du gouvernement, lieu emblématique de la vie politique bernoise. Aujourd’hui (lundi 2 juin 2025), le conseiller d’État Christoph Neuhaus (UDC) a été élu président du Conseil-exécutif pour la période allant du 1er juin 2025 au 31 mai 2026. Membre du Conseil-exécutif depuis 2008, le directeur des travaux publics et des transports avait déjà occupé la fonction de président deux fois auparavant, d’abord en 2013/2014 puis en 2018/2019. Le Parlement a également élu son vice-président, le conseiller d’État Christoph Ammann (PS), directeur de l’économie, de l’énergie et de l’environnement.

Le Conseil d’État propose le rejet de l’initiative « Plus de protection pour les apprenti-e-s »

Source: Canton de Neuchatel Suisse

02.06.2025

Le Conseil d’État préconise le rejet de l’initiative « Plus de protection pour les apprenti-e-s » qui demande un changement structurel du système. Après une analyse approfondie du dispositif de surveillance de l’apprentissage en place dans le canton, il considère que celui- ci est solide et agile. Ce dispositif garantit une formation de qualité aux jeunes, tout en offrant des possibilités d’adaptation lorsque des améliorations sont nécessaires. Si la majeure partie des apprentissages se déroule bien, le système en place permet de prendre des mesures en cas de difficultés professionnelles, psychologiques, sociales ou légales.

La formation professionnelle, en particulier l’apprentissage en mode dual, est l’une des forces du système de formation suisse, qui nous est enviée à travers le monde. Le Conseil d’État y est attaché et s’investit depuis de nombreuses années pour développer ​et valoriser cette voie de formation de tous les possibles. Ce travail est mené en étroite collaboration avec les entreprises formatrices, qui s’engagent – à Neuchâtel plus qu’ailleurs – pour l’apprentissage, tant par la qualité de la formation qu’elles dispensent que par les moyens financiers qu’elles y consacrent, en particulier avec le « contrat- formation » conclu avec l’État. 

Dans son rapport du 21 mai 2025, le Conseil d’État regrette une initiative qui jette le discrédit sur le travail des formatrices et des formateurs en entreprise et qui met en danger le « contrat-formation » et plus largement le système de formation duale au détriment des jeunes. Il relève l’engagement et la qualité du travail des formatrices et formateurs en entreprise et de tous les acteurs de la formation professionnelle en faveur des jeunes et de leur intégration dans la société et le monde du travail. En effet, la formation en mode dual est la filière la plus efficace en termes d’insertion sur le marché du travail. Le Conseil d’État préconise dès lors le rejet de l’initiative.

Un dispositif de surveillance éprouvé
La surveillance de l’apprentissage repose dans le canton sur le travail des conseillères et de conseillers en formation professionnelle (CFP) de l’office des apprentissages. Leur rôle est de s’assurer du bon déroulement de la formation et de la qualité de la pratique professionnelle. Cette surveillance prend la forme de présentations aux apprenti-e-s du Centre de formation professionnelle neuchâtelois (CPNE), de visites de prévention en entreprise, ainsi que de visites de sollicitation. Cette organisation permet l’intervention réactive des CFP dans tout type de situation. Dans le cas où les exigences ne sont pas satisfaites, des mesures pouvant aller jusqu’au retrait de l’autorisation de former peuvent être prises. En comparaison intercantonale, le dispositif neuchâtelois est caractérisé par une intervention marquée de l’État en matière de surveillance de l’apprentissage.

Un réseau de partenaires en soutien
Si les apprenti-e-s ont un-e CFP de référence, leur accompagnement est assuré par un réseau bien plus large selon les situations. En complément de l’encadrement des formatrices et formateurs en entreprise, les CFP peuvent s’appuyer sur un large réseau de compétences notamment les coachs de l’office de l’insertion des jeunes et les spécialistes de l’Espace conseil aux élèves du CPNE. Les professionnel-le-s du dispositif Restart interviennent également pour accompagner les jeunes en cas de rupture de contrat non suivie d’une réintégration en formation dans les mois suivants.

Une initiative contre-productive
L‘initiative « Plus de protection pour les apprenti-e-s » demande la mise en place de contrôles inopinés en entreprise par une commission tripartite, une augmentation du nombre de CFP et des mesures de formation sur le droit du travail et le harcèlement.

Un changement structurel du système, tel que proposé par les initiant- e-s, serait contre-productif. Sur la question des contrôles inopinés en entreprise, les jeunes pourraient être intimidé-e-s face à une délégation tripartite, surtout lorsqu’il s’agit d’aborder des problématiques sensibles comme le harcèlement, au contraire du dispositif de confiance existant aujourd’hui. En outre, la surcharge administrative et les conséquences financières du changement de système souhaité par l’initiative présentent un risque élevé d’induire un désengagement des entreprises, des fermetures de places d’apprentissage, et ce, au détriment des jeunes qui se verraient fermer des portes pour la construction de leur projet de formation. 

Fort de ce constat, le Conseil d’État ne souscrit pas aux changements structurels proposés par l’initiative. Il rappelle que des dispositifs robustes sont déjà déployés dans le canton pour assurer la qualité de la formation et la protection des apprenti‑e‑s. Si la majorité des apprentissages se déroule bien, les dispositifs en place permettent de prendre des mesures solides en cas de difficultés.

Journée de solidarité : comment ça marche ?

Source: Republic of France in French
La République française a publié la déclaration suivante:

Salariés

Publié le 02 juin 2025 – Direction de l’information légale et administrative (Premier ministre)

Mise en place en 2004 pour financer des actions en faveur de l’autonomie des personnes âgées ou handicapées, la journée de solidarité concerne tous les actifs. Comment s’applique-t-elle pour les salariés du privé et pour les agents publics ? Les réponses avec Service-Public.fr.

Secteur privé

Les modalités d’accomplissement de la journée de solidarité sont fixées par convention ou accord d’entreprise (ou d’établissement) ou par accord de branche. À défaut d’accord collectif, elles sont définies par l’employeur après consultation de l’instance de représentation du personnel.

En règle générale, la journée de solidarité dans le privé prend la forme d’une journée de travail supplémentaire sur l’année, cette journée n’étant pas rémunérée. Il peut s’agir de travailler :

  • soit pendant un jour férié qui était précédemment chômé autre que le 1er mai (comme le lundi de Pentecôte) ;
  • soit lors d’une journée de RTT ;
  • soit selon toute autre modalité permettant le travail de 7 heures précédemment non travaillées (comme travailler un samedi, par exemple).

Les heures travaillées durant la journée de solidarité ne sont pas considérées comme des heures supplémentaires (ou complémentaires).

Secteur public

La journée de solidarité dans la fonction publique se traduit par une journée supplémentaire de travail non rémunérée. Elle peut être accomplie selon l’une des modalités suivantes :

  • travail le lundi de Pentecôte ou un autre jour férié précédemment chômé (autre que le 1er mai) ;
  • suppression d’une journée de RTT ;
  • toute autre modalité permettant le travail de 7 heures précédemment non travaillées, à l’exclusion de la suppression d’un jour de congé annuel (par exemple, travail un jour supplémentaire, hors temps scolaire pour les enseignants).

À savoir  

  • Si la journée de solidarité est fixée un jour férié, elle ne concernera pas les travailleurs mineurs puisque, sauf rares exceptions, le travail des salariés de moins de 18 ans est interdit pendant les jours fériés. Si un accord collectif fixe un jour non férié comme journée de solidarité, il appartient aux partenaires sociaux de se prononcer sur les conditions dans lesquelles ces jeunes salariés effectueront cette journée.
  • Quant aux salariés à temps partiel, la limite de 7 heures est réduite proportionnellement à la durée de travail prévue par leur contrat de travail (par exemple, pour un salarié à mi-temps, la limite sera fixée à 3,5 heures). Les heures effectuées au-delà seront normalement rémunérées.

À noter

Des dispositions sont prévues pour que les salariés changeant d’employeur en cours d’année n’aient pas à effectuer cette journée plusieurs fois dans l’année.

Voir aussi

Une campagne de vaccination contre le chikungunya à Mayotte

Source: Republic of France in French
La République française a publié la déclaration suivante:

Santé Publique France indiquait le 23 mai que le nombre de nouveaux cas de chikungunya avait doublé en une semaine à Mayotte.

Après La Réunion, Mayotte est confrontée à une augmentation significative du nombre de cas de chikungunya et à une « probabilité élevée de développement de l’épidémie », indique l’arrêté. Le texte précise qu’une faible partie de la population est immunisée, avec l’existence de « multiples facteurs favorisant la prolifération de moustiques vecteurs de la maladie dans un environnement post-cyclonique ».

Face à ce contexte, cet arrêté annonce une campagne de vaccination ciblant les personnes âgées de 18 à 64 ans présentant au moins une comorbidité, dans le respect des recommandations émises par la Haute Autorité de santé. Il fixe aussi les conditions de sa prise en charge.

La vaccination pourra être faite dans les lieux désignés par le directeur général de l’Agence régionale de santé (ARS) de Mayotte : lieux d’exercice habituels des professionnels de santé et pharmacies d’officine. Les pharmaciens sont autorisés à la pratiquer sous réserve d’avoir reçu une formation spécifique.

La vaccination en officine avec une prescription médicale préalable est entièrement prise en charge par l’Assurance maladie.

Le seul produit autorisé pour l’instant pour la vaccination contre le chikungunya est le Ixchiq.

À noter

À La Réunion, l’utilisation du vaccin Ixchiq a été restreinte depuis fin avril aux personnes âgées de 18 à 64 ans en raison d’effets secondaires graves signalés sur des personnes de plus de 65  ans.

Transfert de Moutier : des mesures transitoires supplémentaires dès le 1er juillet 2025

Source: Switzerland – Canton Government of Bern in French

Les deux gouvernements ont adopté sept accords d’exécution, dont certains entreront en vigueur le 1er juillet prochain. Ces textes couvrent et règlent les thématiques suivantes :

  • Scolarité obligatoire : réglementation du passage du système bernois au système jurassien en août 2026 et du statut du personnel enseignant.
  • Secondaire II : clarification des critères d’admission et des lieux de scolarisation des personnes prévôtoises et bernoises en formation.
  • Commune bourgeoise : intégration à l’ordre juridique jurassien, à l’instar de ce qui est prévu pour la commune municipale et conformément à la volonté de la commune bourgeoise.
  • Naturalisation : transmission automatique au canton du Jura des procédures en cours devant l’administration bernoise.
  • Sites pollués : précision de leur gestion, notamment du suivi de l’assainissement de l’ancien site industriel « Fradec », conformément aux principes arrêtés dans le concordat.
  • Plaques d’immatriculation : possibilité de changement sans frais jusqu’au 30 avril 2026 pour les propriétaires de véhicules dont le lieu de stationnement est Moutier.
  • Services publics : adoption d’un certain nombre de principes généraux visant à garantir la continuité des prestations fournies à la population par les administrations des deux cantons.

D’autres accords d’exécution encore en discussion seront adoptés durant les prochains mois par le Conseil-exécutif bernois et le Gouvernement jurassien. Le transfert de la commune aura lieu le 1er janvier 2026.

Rencontres économiques Auvergne-Rhône-Alpes – Genève: l’intelligence artificielle au service des entreprises

Source: Switzerland – Canton Government of Geneva in French

La Région Auvergne-Rhône-Alpes et le canton de Genève ont le plaisir d’inviter les acteurs économiques, académiques et institutionnels des deux côtés de la frontière aux prochaines Rencontres économiques, qui se tiendront le mardi 17 juin 2025 au Campus Région du Numérique, près de Lyon. Cette édition sera consacrée à un enjeu majeur: “L’intelligence artificielle au service des entreprises: enjeux, opportunités et responsabilités”. L’événement vise à offrir une vision claire des opportunités et des défis liés à l’IA dans l’environnement économique franco-suisse, tout en facilitant les échanges entre entreprises, institutions publiques et experts du domaine.

La matinée de conférences sera ouverte par Mme Catherine Staron, vice-présidente de la Région Auvergne-Rhône-Alpes déléguée à la recherche et à l’innovation. Mme Delphine Bachmann, conseillère d’Etat chargée du département de l’économie et de l’emploi de l’Etat de Genève (DEE), sera également présente pour participer à une première table ronde, “Enjeux politiques et réglementaires de l’IA”. Le programme se poursuivra avec une seconde table ronde, “Applications et implications sectorielles de l’IA”. Mme Delphine Bachmann clôturera la matinée.

L’après-midi, des rendez-vous professionnels permettront aux entreprises de présenter en vingt minutes leurs activités et d’évaluer les possibilités de collaborations. Les entreprises sont invitées à s’inscrire dès aujourd’hui, pour pouvoir programmer leurs rendez-vous. Ces échanges pourront se prolonger lors des différentes séquences de réseautage qui ponctueront la journée.

Deux ateliers thématiques organisés en parallèle des rendez-vous – l’un dédié à l’impact environnemental de l’IA et de son utilisation; l’autre consacré aux sujets de vigilance autour de l’IA pour les entreprises – constitueront un pilier essentiel de ces rencontres.

Les Rencontres économiques Auvergne-Rhône-Alpes – Genève s’adressent aux sociétés, associations, institutions publiques, promotions économiques / chambres de commerces et universités impliqués dans le secteur de l’intelligence artificielle ou l’utilisant dans ses activités.

 

A propos de la Région Auvergne-Rhône-Alpes

La Région est particulièrement investie dans les relations de coopération transfrontalière avec la Suisse et l’Italie. En raison des frontières communes, une étroite collaboration est nécessaire sur de nombreux sujets comme l’emploi, l’aménagement du territoire et les transports. Elle est aussi impliquée dans de nombreux réseaux européens: les Quatre Moteurs pour l’Europe (Bade-Wurtemberg, Catalogne et Lombardie), l’EuroRégion Alpes-Méditerranée (Piémont, Ligurie et Vallée d’Aoste), la Stratégie de l’Union européenne pour la région alpine (7 Etats et 45 régions du Massif alpin), l’AFCCRE…

A propos du canton de Genève

Carrefour international et pôle européen de la gouvernance multilatérale, Genève catalyse les échanges entre valeurs humaines et avancées technologiques. Le canton contribue ainsi au classement régulier de la Suisse à la première place des pays les plus innovants au monde. Le département de l’économie et de l’emploi (DEE) de l’Etat de Genève contribue au développement d’un tissu économique local dynamique, diversifié et durable, à la promotion de l’entrepreneuriat ainsi qu’au soutien à l’innovation. Le DEE agit avec ses partenaires du tissu économique pour renforcer la compétitivité de Genève et ainsi assurer le maintien de son attractivité et de ses emplois.